L'Alamblog - Mot-clé - Cahiers de l audiovisuel - Commentaires2024-03-29T07:58:15+01:00Le Préfet maritimeurn:md5:891a4437ffb56035bcdd99ce6fc8c9f0DotclearDes images d'Henri Simon Faure - FREDERIQUE VACHERurn:md5:cfb3c9cfb3ec7b078cc40377314ff7e82020-06-11T14:56:56+02:002020-06-11T13:56:56+02:00FREDERIQUE VACHER<p>Bonjour,<br />
L'association Oppède Cultures a déjà redu hommage à Henri Simon Faure au printemps 2017. J'ai eu connaissance de l'existence des documentaires et je demandais s'il serait possible de les obtenir pour les projeter à Oppède, dans le cadre de l'une de nos animations, dans l'année à venir.<br />
Merci de me dire quelles sont les possibilités.<br />
Cordialement<br />
Frédérique Vacher, pour Oppède Cultures</p>Des images d'Henri Simon Faure - Christian Paigneauurn:md5:1faa83164e007985fbbd1731495862452019-04-30T21:13:27+02:002019-04-30T20:13:27+02:00Christian Paigneau<p>Cher Alamblog. quelques précisions, personne n'a produite en réalité cette série documentaire si ce n'est moi (Christian Paigneau) et Emmanuel Dumont mon acolyte qui était de tous les tournages. La série était assez amateur avec quasiment aucun moyen si ce n'est notre présence très motivée et nos deux caméras enthousiastes qu'on laissaient tourner. La raison de ces films c'était surtout une envie de rencontres et de filmer le plus vite possible ces poètes que je découvrais et que j'admirais. Le premier tournage de Pierre Boujut c'est fait comme un exercice de fin d'école avec des techniciens. Pour les autres nous embarquions à chaque tournage les amis qui voulaient bien nous accompagner et nous étions tous les deux dans la même école de cinéma (l'ESRA, concurrente de l'ESCA mais qui a disparue depuis). La série documentaire avait vu le jour suite à ma découverte de la Tour de feu et d'une incroyable première rencontre avec Pierre Boujut. Il y eu 6 numéros et la plupart des poètes filmés étaient liés à la tour de feu, Pierre Boujut, Edmond Humeau, Emmanuel Eydoux étaient de la tour de feu, Henri Simon Faure y était mais un peu à part. Dans les autres cahiers, il y eut Marcel Béalu que je côtoyais par sa librairie parisienne le Pont Traversée mais qui faisait partie d'un autre mouvement l'école de Rochefort et Maurice Loton qui lui n'appartient à aucun mouvement mais qui est un merveilleux romancier très peu connu mais que j'ai eu le bonheur d'avoir comme professeur de français dans les années 90.</p>