L'Alamblog - Mot-clé - Frédéric Bézian2024-03-29T01:51:09+01:00Le Préfet maritimeurn:md5:891a4437ffb56035bcdd99ce6fc8c9f0DotclearNe partez pas sans votre Richaud !urn:md5:ef33ef0978aaf1720dfe24f886a36c612012-07-12T00:52:00+02:002012-07-12T00:52:00+02:00Le Préfet maritimeLes Vrais Coupe-FaimAndré de RichaudFrédéric Bézian <p><img src="http://www.alamblog.com/public/Richaud_Concierge.jpg" alt="Richaud_Concierge.jpg" style="display:block; margin:0 auto;" title="Richaud_Concierge.jpg, mar. 2012" /><br />
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Parce que l'avalanche d'articles sur le nouvel opus d'<strong>André de Richaud</strong> a pris de court la librairie, veillez à ne pas tarder à commander votre exemplaire d<em>'Échec à la concierge</em>, l'épatant recueil de nouvelles qui sera le plus lu sur les plages cet été !</p>
<p>André de Richaud que chacun connaît pour sa <em>Douleur</em>, sa <em>Fontaine des lunatiques</em> et autres livres merveilleux, n'en reste pas moins à lire dans ses textes courts réunis enfin, des nouvelles pour la plupart qui retracent, pour ainsi dire, le reflux de sa vie : de Paris à la Provence, en passant par d'étranges champs maritimes qui semblent avoir été fréquentés par Loys Masson lui-même.
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C’est <strong>Frédéric Bézian</strong>, connu pour ses bandes dessinées, qui a illustré l’édition des inédits d’<em>Échec à la concierge</em>. Et nous vous laissons la surprise en ce qui concerne l'illustration... Voyez seulement comme l'auteur est satisfait, quel bon sourire il a ! (Ici aux côtés de Gaston Baissette)<br /><img src="http://www.alamblog.com/images/Richaud et Baissette.jpg" alt="" /> <em>André de Richaud et Gaston Baissette (1939-1940).</em><br />
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<strong>André de Richaud</strong> <em>Échec à la concierge</em>. Préface du Préfet maritime. - Talence, L'Arbre vengeur, 2012, 160 pages, 13 €<br />
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<br /></p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2012/07/12/Ne-partez-pas-sans-votre-Richaud#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/1911André de Richaud le ludionurn:md5:c8b3eeba78ea41333a4807a041dcc02e2012-06-05T05:09:00+02:002012-06-06T13:19:16+02:00Le Préfet maritimeDernières nouvelles du Préfet MaritimeAndré de RichaudFrédéric Bézian <p><img src="http://www.alamblog.com/public/Richaud_Concierge.jpg" alt="Richaud_Concierge.jpg" style="display:block; margin:0 auto;" title="Richaud_Concierge.jpg, mar. 2012" /><br />
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Parce que le Grand Jeu de l'Alamblog n'a toujours pas trouvé de vainqueur (malgré les indices laissés ici et là : le personnage barbu de la photo est mort en 1871, écrivain mais pas que, etc.), l'exemplaire avec dessin à l'aquarelle made in XXe Sauvage d<em>'Échec à la concierge</em> que nous lui destinions (oui, l'aquarelle vient tout juste de sécher) nous reste sur les bras.<br />
André de Richaud que chacun connaît pour avoir écrit <em>La Douleur</em>, et autres textes merveilleux, n'en reste pas moins à lire dans ses textes réunis enfin. <br />
Pour les amateurs, ce petit inédit confié par Philippe Rein, grand collectionneur ès-André de Richaud devant l'Eternel. Il s'agit d'un écrit de circonstance porté...<br /></p>
<blockquote><p>"Sur l'album de madame Amable Lapétouille"<br />
<br />
Cette fleur légère<br />
Cet air incertain,<br />
Vous voyez ma chère<br />
Je me porte bien<br />
(...)<br /></p></blockquote>
<p>Ce qui est tout André de Richaud, si l'on y pense.<br />
C’est <strong>Frédéric Bézian</strong>, connu pour ses bandes dessinées (son dernier en date, le superbe <em>Aller-retour</em> chez Delcourt) qui a illustré l’édition des inédits d’<em>Échec à la concierge</em>.<br />
Pour les dessins intérieurs, nous vous laissons la surprise...<br />
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<strong>André de Richaud</strong> <em>Échec à la concierge</em>. Préface du Préfet maritime. - Talence, L'Arbre vengeur, 2012, 160 pages, 13 €</p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2012/04/03/Andr%C3%A9-de-Richaud-le-ludion#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/1864Bibliographie exhaustive de la collection L'ALAMBICurn:md5:cd3066148dacc0e6bbc0a1634a3d81692006-12-28T10:34:00+00:002024-02-20T17:34:26+00:00Le Préfet maritimeLes Vrais Coupe-FaimAlfred FranklinFrancis de MiomandreFrédéric BézianGabriel de LautrecHarry AlisJean DuperrayL AlambicLoys MassonMarc StéphanePascale HémeryR. C. SherriffRégis MessacYves Martin<p><img src="http://www.alamblog.com/images/AAAlambic.jpg" alt="" /><br />
L'Alamblog a une histoire dont vous n'avez, chers nautes, peut-être pas connaissance.<br /></p>
<p>Afin de ne rien cacher, et pour éviter les malentendus, vous trouverez ci-dessous un <em>résumé de l'action</em> et le <em>catalogue intégral de la collection</em>, ainsi que du périodique (peu courant) dont un satané scanner refuse de rendre le beau vert.<br />
En attendant ces données très roboratives, le Préfet maritime peut dévoiler d'où provient ce nom d'Alambic...</p> <p><strong>Petite histoire de l'Alambic/Alamblog</strong><br />
Au début, c'est-à-dire quelques temps tout de même après l'expulsion d'Adam et d'Eve de leur aire de jeux, vint l'Alambic dont le nom est resté un peu mystérieux. D'aucuns songèrent à l'esprit, spiritueux et spirituel, et ils eurent raison. Mais l'exacte source...<br />
Allez, nous pouvons révéler ici et orbi qu'une gravure ancienne est la cause de tout ce tintoin. La voici donc :
<img src="http://www.alamblog.com/images/alambiquage.jpg" alt="" /><br />
Issue du <em>Magasin pittoresque</em> (juillet 1852, p. 232), elle servait à illustrer ce proverbe italien :</p>
<blockquote><p>"Mi lambico il cervello tutto lieto".<br /></p></blockquote>
<blockquote><p><em>Je m'alambique la cervelle avec bien du plaisir.</em><br /></p></blockquote>
<p>Et n'est-ce pas vrai, en général ?<br />C'est notre cas, quoi qu'il en soit.<br />
Bref, l'histoire de L'Alambic peut se découper comme suit :<br /></p>
<p><strong>Première période</strong><br />
Il y eut tout d'abord L'Esprit des Péninsules, dont le patron, Eric Naulleau, alors comparse du Préfet maritime à la rédaction du <em>Matricule des Anges</em>, lançait sa maison d'édition et réclamait du texte. Une collection fut ouverte aux écrits qui, dans la rubrique "Les Egarés, les Oubliés" dudit magazine de littérature, paraissaient les plus appétissants.<br />
Le nom de la collection était tout trouvé : <strong>L'Alambic</strong>, déjà cogité par le Préfet qui avait depuis plusieurs mois l'envie de produire son propre organe de presse, selon des procédures un peu nouvelles, quoique traditionnelles par ailleurs.<br />
Un logo mêlant alambic et athanor fut commandé à la graveur <strong>Pascale Hémery</strong> et une première maquette de couverture, un peu tristounette, fut testée. Le premier titre parut en octobre 1997 : <em>La Vengeance du portrait ovale</em>, de Gabriel de Lautrec.
Au menu : des livres plus une feuille de chou<br />
Celle-ci, imprimée en offset par <strong>maître Edmond Thomas</strong> (Plein Chant) après avoir mise en page par <strong>David Gaussen</strong> (éditions du Cardinal), répondait au bon plaisir du Préfet maritime qui s'était adjoint quelques chroniqueurs tels qu'Alfred Eibel, Jean Claude Bologne, Dominique Joubert, Jean-Baptiste Para, Jean-Pascal Dubost ou Valérie Rouzeau, selon des modalités flottantes. Car il faut admettre (et avouer) que le Préfet maritime n'était rien de moi que l'Autocrate de l'Alambic et que la feuille paraissait quand elle paraissait.<br />
Peu imprimé (de 500 à 1000 exemplaires, selon la profondeur de nos réserves d'ors), L'Alambic s'offrait en revanche un mode de diffusion plutôt plaisant et fort nouveau : l<em>'inabonnement</em>. Procédé curieux et gratuit pour les lecteurs qui n'a pas fini d'interloquer, l'inabonnement était inspiré (tout bêtement) des non-anniversaires de Lewis Carroll.<br />
Il y eut donc L'Alambic et ses inabonnements.<br />
Le principe était fort simple : L'Alambic étant gratuit — l'ardoise étant réglée par le Préfet maritime —, ne le recevaient que ceux qui en avaient fait l'expresse demande et qui avaient eu la présence d'esprit d'adresser aux (luxueux) bureaux de la rédaction une enveloppée timbrée libellée à leur adresse. C'était bien pratique, vous en conviendrez.<br />
Et ce fut pourtant si complexe pour certains que les collections complètes sont des plus rares — Il est un fait que l'on nous réclame souvent des exemplaires manquant à des ensembles lacunaires... La réédition en fac-similé de l'intégrale est par conséquent programmée et sera chose faite dans quelques mois. Y compris <strong><em>Le Barbecue</em></strong>, vrai plagiat de <em>L'Alambic</em> par L'Alambic même, dont un numéro unique parut afin de célébrer l'incendie de l'entrepôt des Belles-Lettres, maison bien placée pour louer Néron et autres amateurs de la Sacrée Flamme.<br /></p>
<p><strong>Deuxième période</strong><br />
Lancée dans sa grande campagne jourdienne, la maison L'Esprit des Péninsules ne manifesta plus l'envie de produire encore des livres invendables. Il faut dire qu'elle en tenait un qui faisait bouillir la marmite chez Landerneau. Pourtant, et par quelle bizarrerie, <strong><em>L'Alambic</em></strong> se survivait, plus ferme encore, sous sa seule forme apériodique.<br /> Taquin comme tout, il lui arrivait de bégayer dans l'énoncé de sa numérotation et même de changer hardiment de titre (uniquement lorsqu'il lui prenait l'idée de s'autoplagier) mais, grosso modo, les amateurs s'y retrouvaient et nombreux étaient ceux qui accablaient la rédaction d'enveloppes timbrées en espérant ne pas rater des livraisons qui, de toute façon, ne paraissaient qu'au compte-goutte — c'est qu'il faut engraisser la coquille, opération longuette. D'ailleurs tout était longuet : lectures, rédactions, mise en page, corrections (!) : Tout. Si l'envie ne s'émoussait point, divers impedimenti poussait le Préfet maritime à d'autres taches, sur d'autres montures. <em>L'Alambic</em> s'empoussiéra et cessa de paraître, non sans espoir de résurrection. Mais on sait ce qu'il en est des résurrections depuis qu'en Judée, naguère... Passons.<br /></p>
<p><strong>Troisième période</strong><br />
Pour l'heure, <strong>l'Alamblog</strong> supplée merveilleusement au vert <em>Alambic</em>.<br />
Combien plus puissant ! Combien plus efficace ! Combien plus souple !<br />
Le Préfet maritime ne regrette pas cette irruption de la technologie sous sa véranda ensoleillée. Seuls quelques bonobos se sont approchés des claviers, mais les dégâts furent vite réparés. Seuls sont regrettés l'intervention d'Edmond Thomas, ses encres et ses paquets.<br />
L'Alamblog, sur Lekti, est d'une souplesse formidable que l'achat d'un scanner-photocopieur-imprimante rend plus souple encore. Une sorte de rêve éveillé. Citizen Kane n'a qu'à bien se tenir. Pour le moins.<br /></p>
<p><strong>Nouvelle Ere</strong><br />
La vie était donc devenue presque reposante, quoique bien quotidienne parfois, lorsque fit irruption dans notre existence <strong>David Vincent</strong>, l'animateur des éditions <strong>L'Arbre Vengeur</strong>. A sa demande, la collection L'Alambic reprend vie. L'espoir renaîssant, les rêves se sont cristallisés.<br />
Bien entendu, vous serez informés en temps et en heure des publications à venir. La première en date est d'ores et déjà mentionnée au bas de cette page, toute revêtue d'une pourpre aussi cardinalice que vineuse.</p>
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<strong><em>L'Alambic</em></strong><br />
Chaque livraison au format 210/297 mm (A4) comprend 4 pages (soit un A3 plié en deux), sur papier vert absinthe — aux notables exceptions du hors série (papier gris, en hommage à Yves Martin) et du <em>Barbecue</em> (papier orange, en hommage à la flamme). Toute la série a été imprimée par Edmond THomas. A l'exception des deux premières livraisons, la série a été maquettée par David Gaussen.<br />
Afin que les amateurs s'y retrouvent : voici, outre la numérotation et la date de publication de chaque livraison, les notoires épigraphes.<br /></p>
<p><strong>N° 0</strong>, été 1999<br /></p>
<blockquote><p>"Voyez les marchands de journaux :<br />
De leurs discours ils s'empoissonnent,<br />
Ils trimballent dans des tonneaux<br />
l'encens noir que brûle Gorgone<br />
Aux autels des dieux matinaux."<br /></p></blockquote>
<blockquote><p>Lucien Feuillade (1948)<br /></p></blockquote>
<p><strong>N° hors série</strong>, "destiné aux amis et lecteurs passés, présents et à venir d'Yves Martin", hiver 1999<br /></p>
<blockquote><p>"A quoi rêvez-vous, Yves ?<br />
Le professeur remuait ma table.<br />
Derrière les carreaux, averses."<br /></p></blockquote>
<blockquote><p>Yves Martin (1964)<br /></p></blockquote>
<p><strong>N° 1</strong>, automne 2000<br /></p>
<blockquote><p>"J'aurais pour trône une futaille<br />
Pour sceptre un verre et même deux.<br />
Une bouteille de vin vieux<br />
Serait mon sabre."<br /></p></blockquote>
<blockquote><p>Raoul Ponchon<br /></p></blockquote>
<p><strong>N° 2</strong>, printemps 2001<br /></p>
<blockquote><p>"Le docteur Faust a tout voulu savoir :<br />
Il fut damné, nous conte la chronique<br />
Ah, le bon Dieu n'a pas l'air de vouloir<br />
Encourager l'instruction publique."<br /></p></blockquote>
<blockquote><p>Mathias Lübeck (1903-1944)<br /></p></blockquote>
<p><strong>N° 3</strong>, automne 2001<br /></p>
<blockquote><p>"Je suis varlet qui sçais tout faire,<br />
Qui ne cherche qu'à travailler ;<br />
Si quelqu'un a de moy affaire,<br />
Me voylà prest pour besongnier."<br /></p></blockquote>
<blockquote><p>Christofle de Bordeaux, parisien<br /></p></blockquote>
<p><strong>N° 4</strong>, hiver 2002<br /></p>
<blockquote><p>"Le Monstre<br />
Il arrive, il regarde, il fume, il crache, il passe ;<br />
Il est passé le grand monstre admirable issu<br />
De l'homme, il est passé ; l'avez-vous aperçu<br />
Mordant le mors, hurlant la faim, mangeant l'espace ?"<br /></p></blockquote>
<blockquote><p>Léon Cladel (1860)<br /></p></blockquote>
<p><strong>N° 4 bis</strong>, prémices de l'été 2002<br /></p>
<blockquote><p>"S'il n'avait pas perdu son navire,<br />
il aurait tapé du poing sur la table.<br />
A quoi tient la colère d'un râleux ?"<br /></p></blockquote>
<blockquote><p>Guillaume Loubet<br /></p></blockquote>
<p><strong><em>Le Barbecue</em></strong>, n° 1, 2002 finissant<img src="http://www.alamblog.com/images/Barbecue.jpg" alt="" /><br /></p>
<blockquote><p>"Les pâles et fiévreux après-midi des villes,<br />
comme les jeunes repasseuses,<br />
je vous prends dans la bouche."<br /></p></blockquote>
<blockquote><p>Annie Le Brun (1972)<br /></p></blockquote>
<p><strong>N° 4 ter</strong>, printemps 2003<br /></p>
<blockquote><p>"Du Panthéon l'on voit Bicêtre<br />
Et réciproquement."<br /></p></blockquote>
<blockquote><p>Pierre Véron<br /></p></blockquote>
<p><strong>N° 5</strong>, chez les fous, 2004<br /></p>
<blockquote><p>"Poètes Hein Causez pas si fort<br />
La postérité nous montre son cul"<br /></p></blockquote>
<blockquote><p>José Millas-Martin<br /></p></blockquote>
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<p><strong>CATALOGUE DE LA COLLECTION</strong><br /></p>
<p><img src="http://www.alamblog.com/images/Lautrec.jpg" alt="" /><br />
<strong>DE LAUTREC (Gabriel)</strong> <em>La Vengeance du portrait ovale</em>. Avec une préface d'Eric Dussert et une bibliographie. – Paris, L’Esprit des Péninsules, 1997 (a. i. 1er octobre 1997), 240 p. Coll. "L'Alambic" (1).<br />
20 exemplaires agrémentés d'une photographie de l'auteur sont numérotés de I à XX. En outre, 10 exemplaires réservés aux éditeurs sont marqués HC I à V et HC A à E.<br />
<em>Le premier titre prévu de la collection était</em> La Maternelle <em>de Léon Frapié mais, tandis que nous mettions la dernière main à notre préface, un éditeur parisien lançait une réédition nue. C'est par le deuxième titre de la collection que nous commençâmes donc, chef-d'oeuvre d'un symbolisme opiacé du "Prince des humoristes" et disciple d'Alphonse Allais, Gabriel de Lautrec (1867-1938). Un grand livre.</em></p>
<p><img src="http://www.alamblog.com/images/Martin.jpg" alt="" /><br />
<strong>MARTIN (Yves)</strong> <em>Etat des lieux. Ce que vous auriez pu deviner</em>. — Paris, L'Esprit des Péninsules, 1997 (a. i. 19 novembre 1997), 53 p. Coll. "L'Alambic" (2).<br />
20 exemplaires agrémentés d'une photographie de l'auteur par E. D. sont numérotés de I à XX. En outre, 10 exemplaires réservés aux éditeurs sont marqués HC I à V et HC A à E. Ils constituent l'édition originale de ce texte.<br />
<em>Cette novella autobiographique, dont le fragment central avait paru dans le dossier Yves Martin de la revue</em> Brèves<em>, est un panorama biographique du poète à travers son petit appartement où règnent les livres (des milliers) et la Valise aux manuscrits (une seule). Probablement la dernière prose du poète, mort en 1999.</em></p>
<p><img src="http://www.alamblog.com/images/miomandrecameleon.jpg" alt="" /><br />
<strong>DE MIOMANDRE (Francis)</strong> <em>Mon caméléon, suivi de lettres inédites à son éditeur</em>. Postface d'Eric Dussert — Paris, L'Esprit des Péninsules, 1998 (a. i. janvier 1998), 218 p. Coll. "L'Alambic" (3).<br />
20 exemplaires agrémentés d'une photographie de l'auteur sont numérotés de I à XX. En outre, 10 exemplaires réservés aux éditeurs sont marqués HC I à V et HC A à E.<br />
<em>Nous souhaitions publier un livre de Francis de Miomandre. </em>Le Voyage d'un sédentaire<em> aurait comblé nos désirs mais Paul Lequesne, fin lecteur, nous mit sur la piste de la bestiole — seul livre écrit en français sur le caméléon, faut-il préciser. C'est après avoir acquis l'exemplaire de l'éditeur historique de ce livre que nous avons décidé de publier en outre les missives où de Miomandre se dévoile, comme il a dévoilé son caméléon Séti.</em></p>
<p><img src="http://www.alamblog.com/images/Alis.jpg" alt="" /><br />
<strong>ALIS (Harry)</strong> <em>Hara-Kiri</em>. Préface de Jean-Didier Wagneur. — Paris, L'Esprit des Péninsules, 2000 (d. l. mars 2000), 332 p. Coll. "L'Alambic" (4).<br />
<em>Des conséquences du japonisme en littérature : un jeune Japonais découvre Paris et, depuis les bancs de la faculté de droit, va traverser tous les cercles de la sociabilité parisienne, jusqu'à se brûler le kimono...</em><br /></p>
<p><img src="http://www.alamblog.com/images/Bonneff.jpg" alt="" /><br />
<strong>BONNEFF (Léon)</strong> <em>Aubervilliers</em>. Préface de Didier DAENINCKX, postface d’Henry POULAILLE. – Paris, L’Esprit des Péninsules, 2000 (d. l. mars 2000), 244 p. Coll. "L'Alambic" (5).<br />
<em>Sous une couverture illustrée d'une photographie fameuse de Willy Ronis, l'une des plus grandes proses de la littérature prolétarienne.</em></p>
<p><img src="http://www.alamblog.com/images/Jourde.jpg" alt="" /><img src="http://www.alamblog.com/images/Jourde bandeau.jpg" alt="" /><br />
<strong>JOURDE (Pierre)</strong> <em>La Littérature sans estomac</em>. — Paris, L'Esprit des Péninsules, 2001 (d. l. décembre 2001), 333 p. Coll. "L'Alambic".<br />
<em>A obtenu le Prix de la Critique de l'Académie française. Presses-Pocket a donné en 2002 une version poche de ce pamphlet-satire-exercice d'admiration.</em><br /></p>
<p><img src="http://www.alamblog.com/images/MASSON.jpg" alt="" /><br />
<strong>MASSON (Loys)</strong> <em>Saint Alias, suivi de La Chose</em>. Préface d'Eric Dussert. — Talence, L'Arbre vengeur, avril 2007 (a. i. février 2007), 137 p., bibliographie, Coll. "L'Alambic" (7).<br />
<em>Les lecteurs des</em> Tortues<em>, ces accros, sombreront tout bonnement dans ces nouvelles d'un étrange tonitruant. Du diable et des alcools : de l'hallucination. Signalons que ce Saint Alias-là, tout étrange qu'il soit, pourrait bien être le frère du </em>Mr Pye<em> décrit par Mervyn Peake, ce génial Anglais découvert et promu par Patrick Reumaux</em> (<em>trad. Goffaux et Hoepffner, Joëlle Losfeld, 1993</em>).
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<img src="http://www.alamblog.com/public/quinzinzinzili.jpg" alt="quinzinzinzili.jpg" /><br />
<strong>MESSAC (Régis)</strong> <em>Quinzinzinzili.</em> Illustration de Jean-Michel Perrin. Préface d'E. D. — Talence, L'Arbre vengeur, 28 septembre 2007, 200 p., bibliographie, Coll. "L'Alambic" (8).<br />
<em>Livre culte de la science fiction française, contre-utopie d'une noirceur rarement égalée. Une référence majeure enfin rééditée</em>.
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<img src="http://www.alamblog.com/public/./.MarcStephaneCit_desFous_m.jpg" alt="MarcStephaneCit_desFous.jpg" /><br />
<strong>STEPHANE (Marc)</strong> <em>La Cité des fous</em>. Illustrations d'Alain Verdier. Préface de votre serviteur. — Talence, L'Arbre vengeur, 2008, 255 p., Coll. "L'Alambic" (9).<br />
"Marc Stéphane, l'ami d'il y a dix ans, m'a envoyé un livre : La Cité des fous, souvenir de son séjour à Sainte-Anne. Je m'attendais à un livre complètement détraqué. C'est, au contraire, un livre très raisonnable."<br />
Léon Bloy, <em>L'Invendable</em> (27 avril 1905).
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<img src="http://www.alamblog.com/public/dramemarcst_phane.jpg" alt="dramemarcst_phane.jpg" /><br />
<strong>STEPHANE (Marc)</strong> <em>Un drame affreux chez les tranquilles</em>. Dessin d'Alain Verdier. — Talence, L'Arbre vengeur, 2008, 64 p., Coll. "L'Alambic" (10).<br />
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<img src="http://www.alamblog.com/public/./.big-lipski_s.jpg" alt="big-lipski.jpg" /><br />
<strong>LIPSKI (Leo)</strong> <em>Piotrus</em>. Illustrations de Joko. Préface de votre serviteur insulaire. - Talence, L'Arbre vengeur, 2008, 176 p., Coll. "L'Alambic" (11).<br />
<em>Les Mille et une nuits du Polonais Lipski débutent en Palestine, dans la chaleur étouffante des toilettes dont il a la garde. Pour seule lecture, un volume d'encyclopédie, pour patronne, une affreuses bonne femme. Un ouvrage étonnant, par une plume brillante, recommandé par Denis Lavant.</em>
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<img src="http://www.alamblog.com/public/./.Franklincouv_s.jpg" alt="Franklincouv.jpg" /><br />
<strong>Alfred FRANKLIN</strong> <em>Les Ruines de Paris en 4908</em>. Illustrations d’Amandine Urruty. Préface du Préfet maritime. — Talence, l'Arbre vengeur, 2008, 111 p., Coll. "L'Alambic" (12).<br />
<em>Paris perdue, Paris ensevelie, mais Paris retrouvée...</em><br />
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<img src="http://www.alamblog.com/public/big-sherriff.jpg" alt="big-sherriff.jpg" title="big-sherriff.jpg, déc. 2009" /><br />
<strong>R. C. SHERRIFF</strong> <em>Le Manuscrit Hopkins</em>. Préface de Michael Moorcock. Traduction de Virginia Vernon et Daniel Apert. Couverture illustrée par Jean-Michel Perrin. — Talence, l'Arbre vengeur, 2009, 415 p., 16 euros, Coll. "L'Alambic" (13).<br />
<em>Des poulettes et la fin du monde, par un Britannique drôlement inspiré</em>.
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<img src="http://www.alamblog.com/public/Couv.Duperrat.jpg" alt="Couv.Duperrat.jpg" title="Couv.Duperrat.jpg, mai 2010" /><br />
<strong>Jean DUPERRAY</strong> <em>Harengs frits au sang</em>. Préface du Préfet maritime. Couverture illustrée par Vincent Vanoli. — Talence, l'Arbre vengeur, 2010, 320 p., 15 €, Coll. "L'Alambic" (14).<br />
<em>« Du brutal » aurait dit Michel Audiard : la fiction selon Jean Duperray n’a rien d’une bluette. Un roman noir et culte, populaire et sanguin.</em><br />
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<img src="http://www.alamblog.com/public/MarronsHouat.jpg" alt="MarronsHouat.jpg" title="MarronsHouat.jpg, janv. 2011" /><br />
<strong>Louis-Timagène HOUAT</strong> <em>Les Marrons</em>. Préface et bibliographie par le Préfet maritime. - Talence, L'Arbre vengeur, 2011, coll. "L'Alambic", 100 pages, 10 € Coll. "L'Alambic" (15)<br /></p>
<blockquote><p>- Les maîtres sont donc toujours méchants, - dit la jeune femme en s'adressant au Câpre comme pour le plaindre.<br />
- Toujours, Madame.<br /></p></blockquote>
<p>Réputé premier roman réunionnais, Les Marrons ont été redécouverte dans les années 1980 par un sociologue de la Réunion. Il avait paru en 1844 à Paris dans l'entourage du Martiniquais Cyrille Bissette (1795-1858) ), grand abolitionniste, directeur de la <em>Revue des Colonies</em> et fondateur de la Société des Amis des Noirs, souventes fois opposé à Victor Schoelcher dans leur lutte commune pour l'abolition de l'esclavage. Le parcours de Louis-Timagène Houat n'est pas commun qui, de l'accusé de complot contre le roi fera un médecin occupé d'homéopathie à Pau... Un personnage et un livre fort à redécouvrir sur l'histoire de l'esclavage et de son abolition, partiellement obtenu le 27 avril 1848, quatre ans après la parution des <em>Marrons</em>.
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<img src="http://www.alamblog.com/public/CHermonst.jpg" alt="CHermonst.jpg" title="CHermonst.jpg, oct. 2011" /><br />
<strong>Gaston CHERAU</strong> <em>Le Monstre, les Vieilles et les autres</em>. Couverture par Blanquet. - Talence, L'Arbre vengeur, coll. "L'Alambic", 23 novembre 2011, 120 pages, Coll. "L'Alambic" (16).<br />
Cette fois, ça y est ! Depuis le vendredi 23, <em>Le Monstre</em> de <strong>Gaston Chérau</strong> est de retour accompagné de quelques vieilles et de quelques autres...<br />
Mais ce monstre, qui est-il ? le père érotomane trousseur de servantes ? la fille martyr ? l'enfant indésirable ? les deux vieilles ? la cocufiante épouse ? les autres ? qui donc ?
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<img src="http://www.alamblog.com/public/big-richaud.jpg" alt="big-richaud.jpg" /><br />
<strong>André de RICHAUD</strong> <em>Échec à la concierge</em>. Préface du Préfet maritime. - Talence, L'Arbre vengeur, 2012, 160 pages, 13 € Coll. "L'Alambic" (17)<br />
André de Richaud que chacun connaît pour avoir écrit <em>La Douleur</em>, et autres textes merveilleux, n'en reste pas moins à décovurir parfois. Ses souvenirs et témoignage, comme Je ne suis pas mort, ont partiellement occulté le ludion qu'il fut, à la fois enfantin et charmant, malchanceux et brisé. Dans ses textes réunis ici, des curiosités attendrissantes et belles qui rendent justice à son style et à sa position d'homme. C’est <strong>Frédéric Bézian</strong>, connu pour ses bandes dessinées (son dernier en date, le superbe <em>Aller-retour</em> chez Delcourt) qui a illustré l’édition des inédits d’<em>Échec à la concierge</em>. Pour les dessins intérieurs, nous vous laissons la surprise...<br />
Et pour les amateurs enfin, ce petit inédit confié par Philippe Rein, grand collectionneur ès-André de Richaud devant l'Eternel. Il s'agit d'un écrit de circonstance porté...<br /></p>
<blockquote><p>"Sur l'album de madame Amable Lapétouille"<br />
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Cette fleur légère<br />
Cet air incertain,<br />
Vous voyez ma chère<br />
Je me porte bien<br />
(...)<br /></p></blockquote>
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<img src="http://www.alamblog.com/public/big-trimardII.jpg" alt="big-trimardII.jpg" /><br />
<strong>Marc STEPHANE</strong> <em>Ceux du trimard</em>. Préface du Préfet maritime. illustrations d'Alain Verdier. - Talence, L'Arbre vengeur, 2012, 160 pages, 13 €.Coll. "L'Alambic" (18).<br />
L'autre chef-d'oeuvre de l'auteur de <em>La Cité des fous</em>.
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<img src="http://www.alamblog.com/public/.DalizeCOUV_m.jpg" alt="DalizeCOUV.jpg" /><br />
<strong>René DALIZE</strong> <em>Le Club des neurasthéniques</em>. Illustrations d'Hugues Micol. - Talence, L'Arbre vengeur, coll. "L'Alambic", 2103, 333 pages, 20 € Coll. "L'Alambic" (19)<br />
Cette fois, ça y est : il a paru ! Enfermé dans les pages de Paris-Journal depuis l'été 1912, le grand roman de Dalize, le plus ancien et le plus intime ami de Guillaume Apollinaire, Le Club des neurasthéniques a enfin la chance de se présenter aux lecteurs. Et avec tous ces atouts : amour, neurasthénie, épidémie de peste, bateau, naufrage, course à l'héritage : un vrai roman d'aventures pailleté d'humour, de dérision et de frissons ! Un régal.
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<img src="http://www.alamblog.com/public/.varletrocdor_m.jpg" alt="varletrocdor.jpg" title="varletrocdor.jpg, janv. 2014" /><br />
<strong>Théo VARLET</strong> <em>Le Roc d'or</em>. Illustrations de Nicolas André. Présentation et bibliographie du Préfet maritime. — Paris, L'Arbre vengeur, 2014, coll. "L'Alambic" (n° 20).
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<img src="http://www.alamblog.com/public/.Leon_Bonneff_Couv_m.jpg" alt="Leon_Bonneff_Couv.jpg" title="Leon_Bonneff_Couv.jpg, mar. 2015" /><br />
<strong>Léon BONNEFF</strong> <em>Aubervilliers</em>. Illustrations de Nicolas André. Présentation et bibliographie du Préfet maritime. — Talence, L'Arbre vengeur, 2015, coll. "L'Alambic", coll. 336 pages, 19,90 € (n° 21)
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<strong>Robert Cedric SHERRIFF</strong> <em>Le Manuscrit Hopkins</em>, nouvelle édition. Nouvelle édition. Traduit de l'anglais par Virginia Vernon et Daniel Apert. Préface de Michael Moorcock. Illustrations de Jean-Michel Perrin. — Talence, L'Arbre vengeur, 2015, coll. "L'Alambic", coll. 416 pages, 19 €
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<strong>Rayas RICHA</strong> <em>Les Jeunes Constellations</em>. Illustrations de Donatien Mary. — Talence, L'Arbre vengeur, 2016, coll. "L'Alambic", coll. 224 pages, 18 € (n° 21)
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<strong>Francis de MIOMANDRE</strong> <em>Mon caméléon</em>. Illustrations d'Alban Caumont. — Talence, L'Arbre vengeur, 2017, coll. "L'Alambic", coll. 256 pages, 17 €
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<strong>Jean-Pierre MARTINET</strong> <em>La Grande Vie</em>. Préface de Denis Lavant. Illustration de Nicolas Etienne. Postface du Préfet maritime — Talence, L'Arbre vengeur, 2017, coll. "L'Alambic", coll. 80 pages, 9 € (n° 22)
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<strong>François CARADEC</strong> <em>Monsieur Tristecon, chef d'entreprise</em>. Suivi d'un entretient avec l'auteur et d'une postface du Préfet maritime. Illustrations de Nicolas Etienne. — Talence, L'Arbre vengeur, 2018 coll. "L'Alambic", coll. 72 pages, 8 € (n° 23)
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<strong>ALBERT-JEAN</strong> <em>Derrière l'abattoir</em>. Illustration de Sem. — Talence, L'Arbre vengeur, 2018, coll. "L'Alambic", 176 pages, 13 € (n° 24)
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<strong>Gilbert LASCAULT</strong> <em>Petite Tétralogie du fallacieux</em>. Illustrations de François Ayroles. — Talence, L'Arbre vengeur, 2018, coll. "L'Alambic", 362 pages (n° 25)
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<strong>Loys MASSON</strong> <em>Les Tortues</em>. — Talence, L'Arbre vengeur, « L'Alambic (26) », 2021, 301 p. ISBN 978-2-37941-020-8, (n° 26)
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<strong>Elisabeth GASPAR</strong> <em>Les Grilles du Parc</em>. — Talence, L'Arbre vengeur, « L'Alambic », 2022, 129 p. ISBN 978-2-37941-141-0 (n° 27)
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<strong>Régis MESSAC</strong> <em>Quinzinzinzili</em>. Nouvelle édition. — Talence, L'Arbre vengeur, « L'Alambic », 2021, 179 p. ISBN 978-2-37941-193-9 (n° 8)
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Prochainement :
François Caradec, <em>Nous deux mon chien</em><br />
Gaston Baissette, <em>L'Etang de l'or</em><br />
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Des surprises restent à prévoir...
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Et des nouvelles toujours fraîches dans l'Alamblog !<br />
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<img src="http://www.alamblog.com/images/alambicCouv.jpg" alt="" /><br /><a href="http://www.lekti-ecriture.com/index.php/post/2007/05/26/386-l-alambic-est-de-retour">Pour en savoir plus : cliquez ici ! Oui : là !</a></p>
<p>NB un scanner récalcitrant nous a empêché de servir un Alambic à la bonne température, je veux dire de la bonne couleur : le vert originel de L'Alambic est beaucoup plus soutenu. Par ailleurs, nulle bande jaunasse ne souille la colonne de gauche de L'Alambic imprimé. Ce scanner est lassant.</p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2006/12/28/237-bibliographie-exhaustive-de-la-collection-l-alambic#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/419