L'Alamblog - Mot-clé - Fritz Lang2024-03-28T18:27:22+01:00Le Préfet maritimeurn:md5:891a4437ffb56035bcdd99ce6fc8c9f0DotclearBoum ! boum ! encore boum !urn:md5:0c44d9fe29ffb1c8158a2ddc233b834b2022-01-05T06:42:00+01:002022-01-05T06:42:00+01:00Le Préfet maritimeDernier reçu Premier serviAprès-guerreCinémaFritz LangOccupation quadripartiteVienne <p><img src="http://www.alamblog.com/public/.EibelViennoisSouvenirs_m.jpg" alt="EibelViennoisSouvenirs.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="EibelViennoisSouvenirs.jpg, janv. 2022" /><br />
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<br />Paraîtra le mercredi 12 prochain, le volume très attendu des <em>Souvenirs viennois</em> d'Alfred Eibel, éditeur, critique, auteur de plusieurs livres dont le fameux reportage sur Fritz Lang qui a fait sa réputation, avec ses déjeuners chinois, et la princière mise en oeuvre de son activité éditoriale — unique en son genre, il aura mangé comme un grand duc son héritage en quelques années pour publier quelques textes magnifiques. Il avait commencé, indice net de grandeducherie, par publier en un ventripotent <em>Hors commerce</em> la quasi totalité des échantillons de <a href="http://www.alamblog.com/index.php?post/Bibliographie-des-editions-alfred-eibel">sa production à venir.</a> Du jamais vu. Et l'objet était si inhabituel qu'il <a href="http://editionsdusandre.com/editions/livre/135/hors-commerce">fut réédité par un autre éditeur</a> admiratif de la généreuse démesure de cet Eibel de Vienne !<br />
Né en 1932, dans la Trauttmansdorffgasse aux allures Jugendstil, Alfred Eibel nous raconte enfin à l'aide de ses petits morceaux de récits-miroir taillés dans ses souvenirs, ses jeunes années dans la Vienne d'Arthur Schnitzler où le baise-main était encore de rigueur puis les années d'après-guerre durant lesquelles autre chose se jouait...<br /></p>
<blockquote><p>Qu'était devenue la Vienne joyeuse et insouciante de Willi Forst ? Fallait-il lui reprocher d'avoir dissimulé, sans l'avoir voulu, dans ses opérettes filmées, la vision dantesque des camps de concentration ? Il a continué à tourner après guerre, notamment un film intitulé Vienne, ville de mes rêves en 1957. Il avait alors cinquante-quatre ans. Il est mort vingt-trois ans plus tard. Qu'a-t-il fait durant toutes ces années ? Peut-être s'est-il aménagé une retraite dorée en Suisse, à Ascona, dans le Tessin, où tant de gens du spectacle s'étaient retirés avec une discrétion qui en épatait plus d'une, à croire qu'ils avaient dérobé un trésor pour vivre heureux et cachés. Ne disait-on pas qu'on parlait plus l'allemand dans ce canton que l'italien ? La presse viennoise fêtait à sa façon le retour définitif ou provisoire d'acteurs ayant trouvé refuge aux Etats-Unis, tels Helene Thimig, l'amuseur Karl Farkas du café-théâtre Simplicissimus.<br />
Il y a avait quelque chose de pathétique dans des spectacles comme Princesse Czardas, qui sentait la natphtaline, évoquant non sans lourdeur le film du même nom tourné en 1934 par Georg Jacoby....<br /></p></blockquote>
<p>C'est le retour des gloires anciennes, compromises avec le nazisme ou pas. La société viennoise baigne dans le souvenir de sa gloire passée et rejoue son disque dans une ambiance qui est déjà celle de la Guerre froide et du <em>Troisième Homme</em> de Graham Greene. Tout en dégustant maintes pâtisseries et en écoutant les opéras de Richard Strauss...<br />
Brossés à la hâte comme il sait si bien le faire, Alfred Eibel a enfin mit bout à bout les souvenirs qu'il avait commencé à publier, comment l'oublier ! dans l'Alambic, la feuille verte, il y a bien des années... A l'heure de la réédition de <em>L'Effondrement</em> de Nossack sur l'écrasement de Hambourg, ces souvenirs d'une autre terre germanophone n'est pas inutile. On n'y retrouve, de plus, Alfred Eibel le chroniqueur, observateur doté d'un regard très personnel, décochant ses traits et bifurquant abruptement parfois : dépaysant toujours.<br />
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<strong>Alfred Eibel</strong> <em>Souvenirs viennois</em>. - Arthaud, 240 pages, 19,90 €<br />
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<br /></p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2022/01/05/Boum%2C-boum-et-reboum#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/5232Le jour des livres bleusurn:md5:c4cbfe2f72f804ebd41a492c2a86f8262018-05-08T08:48:00+02:002018-05-08T12:40:30+02:00Le Préfet maritimeApostilleAda RémyAles StegerAnders WinrothBernard EisenschitzBleuBoris SavinkovClaude EvenoDino BuzzatiFritz LangHenri CaletHyakken UchidaJames ThurberJean PaulhanJuan Jose SaerJuan Rodolfo WilcockLudovic MasséMarc BernardOzamu DazaiPanaït IstratiShirley GoldfarbWaguig GhaliWilliam CliffYorgos IoannouYves Rémy <p><img src="http://www.alamblog.com/public/.LivresBleus_m.jpg" alt="LivresBleus.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="LivresBleus.jpg, mai 2018" /><br />
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C'est le jour des livres bleus.<br />
Probablement parce qu'il fait très beau et que le Préfet maritime succombe à une immense flemme.<br />
Porter des livres bleus a constitué, à ses yeux d'insulaire, un effort digne de louanges.<br />
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Par ordre de fraîcheur<br /></p>
<p><strong>Juan Rodolfo Wilcock</strong> <em>Le Livres des monstres</em>, traduit de l'italien par Lise Chappuis, préface de Philippe Marczewski. — Bordeaux, L'Arbre vengeur, 2018, 188 pages, 13 €<br /></p>
<p><strong>Claude Eveno</strong> <em>Quelques Uns</em>. — Paris, Christian Bourgois, 2018, 112 pages, 13 €<br /></p>
<p><strong>Yorgos Ioannou</strong> <em>Le Sarcophage</em>, traduit du grec par Michelle Barbe, Noëlle Bertin @ Michel Volkovitch — Le Miel des anges, 2018, 156 pages, 12 €<br /></p>
<p><strong>Waguig Ghali</strong> <em>Les Cigarettes égyptiennes</em>, traduit de l'anglais par Elisabeth Janvier. — Paris, L'Olivier, 2018, 250 pages, 15,90 €<br /></p>
<p><strong>Shirley Goldfarb</strong> <em>Carnets. Montparnasse, 1971-1980</em>. Textes choisis par Gregoy Masurovsky, traduit par Frédéric Faure. — Paris, La Table ronde, 2018, 304 pages, 16 €<br /></p>
<p><strong>Anders Winroth</strong> <em>Au temps des Vikings</em>. Traduit par Philippe Pignarre. — Paris, La Découverte, 2018, 320 pages, 22 €<br /></p>
<p><strong>James Thurber</strong> <em>Ma chienne de vie</em>, traduit par Jeanne Guyon. — Paris, Wombat, 2018, coll. "Les Insensés" 160 pages, 15 €<br /></p>
<p><strong>Ozamu Dazai</strong> <em>Ecolière, suivi de la Boîte de Pandore</em>. Traduit du japonais par Hervé Audouard. — Paris, Le Serpent à plumes, 2018, coll. "Motifs", 350 pages, 9 €<br /></p>
<p><strong>Panaït Istrati</strong> <em>Méditerranée</em>. Préface de Gilles Aboucaya — Paris, L'Echappée, 2018, coll. "Lampe-Tempête", 240 pages, 19 €<br /></p>
<p><strong>Dino Buzzati</strong> <em>Barnabo des montagnes, suivi du Secret du Bosco Vecchio</em>. Traduction de Michel Bretizman, préface de Marcel Brion. — Paris, Robert Laffont, 2018, coll. "Pavillons Poche", 330 pages, 8,90 €<br /></p>
<p><strong>Hyakken Uchida</strong> <em>Au-delà, suivi d'Entrée triomphale dans Port-Arthur</em>. Traduit par Patrick Honnoré. Préface de Philippe Forest.— Paris, Christian Bourgois, 2018, 280 pages, 24,90 €<br /></p>
<p><strong>Bernard Eisenschitz</strong> <em>Fritz Lang au travail</em>. — Paris, Cahiesr du Cinéma, 2018, 273 pages, 59,95 €<br /></p>
<p><strong>Juan José Saer</strong> <em>Le Fleuve sans rives</em>. Traduit par Louis Soler. Préface de Jean-Didier Wagneur — Paris, Le Tripode, 2017, 312 pages, 21 €<br /></p>
<p><strong>Boris Savinkov</strong> <em>Ce qui ne fut pas</em>. — Paris, Prairial, 2017, 495 pages, 21 €<br /></p>
<p><strong>William Cliff</strong> <em>Au nord de Mogador</em>. — Paris, Le Dilettante, 2017, 128 pages, 15 €<br /></p>
<p><strong>Ludovic & Sylvain Massé</strong> <em>Lam, la truite</em>, présentation par Joël Cornuault. — Nérac, Pierre Mainard, 2017, 158 pages, 16 €<br /></p>
<p><strong>Ales Steger</strong> <em>Le Livre des choses</em>, traduit du slovène par Guillaume Métayer et Mathias Rambaud. — Paris, Circé, 2017, 96 pages, 12<br /></p>
<p><strong>Marc Bernard et Jean Paulhan</strong> <em>Correspondance 1928-1968</em>. Edition établie par Christian Liger et Emmanuel Louet. — Paris, Claire Paulhan, 2013</p>
<p><strong>Yves & Ada Rémy</strong> <em>Les Soldats de la mer. Chroniques illégitimes sous la Fédération</em>. — Evry, Dystopha Worshop, 2013, 346 pages, 20 €<br /></p>
<p><strong>Henri Calet</strong> <em>Jeunesses</em>. présentation de Jean-Pierre Barril. — Paris, Le Dilettante, 2003, 320 pages, 18,50 €<br />
<br /></p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2018/05/08/Le-jour-des-livres-bleus#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/3531Alfred Eibel raconte Fritz Langurn:md5:5c88810e7e2f2f4d2d59ba62623fe90e2017-10-08T08:21:00+02:002017-10-08T12:32:36+02:00Le Préfet maritimeAlfred EibelCinémaFritz Lang <p><img src="http://www.alamblog.com/public/.EibelFritzLang_m.jpg" alt="EibelFritzLang.jpg" style="display:block; margin:0 auto;" title="EibelFritzLang.jpg, oct. 2017" /><br />
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Illustrés d'une magnifique photographie de <strong>Fritz Lang</strong> dans la force de son âge, les souvenirs d'<strong>Alfred Eibel</strong> concernant le réalisateur (1890-1976) viennent de paraître et sont l'occasion, cet après-midi, d'un débat de l'auteur au marché du livre ancien à Brancion, à Paris (16 h, avec une exposition de documents en prime).<br />
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Hôte de Fritz Lang en août 1966 aux USA, Alfred Eibel avait déjà eu l'occasion de donner une monographie documentée sur le réalisateur (1). Ce sont cette fois des notes de rencontres, des impressions, des réflexions nées de la fréquentation de Lang et de son entourage — à l'occasion de ce séjour à Beverly Hill ou sur le vieux continent que revenait visiter le cyclope, Berlin ou Paris en particulier. Eibel en a tiré un livre étonnant, comme à son habitude rédigé à la hussarde, voilant et dévoilant certaines facettes mal connues d'un personnage solitaire, pour ne pas dire isolé, génial et brutal à la fois, énigmatique lorsqu'il le souhaitait.<br />
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Cela donne des choses comme ça :<br />
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<blockquote><p>Presque mal voyant, le vieux cyclope considérait avec causticité les projets de films qu'on lui soumettait et qu'il savait irréalisables. Il subit un traitement de choc recommandé par le docteur Niehans. On lui fit des piqûres dans les fesses avec des seringues longues comme des aiguilles à tricoter. Il espérait retrouver un peu plus de vision de son oeil valide, mais déjà, me semblait-il, il était trop tard. Il s'en amusait et s'en attristait à la fois. (...)<br /></p></blockquote>
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<blockquote><p>Dans les cafés du Kurfürstendamm à Berlin, Lang seul devant une boisson ne perdrai pas une miette de ce qui se disait aux tables voisines de la sienne. C'est là que naissaient les complots, c'est là que les joueurs de cartes perdaient ou gagnaient des fortunes. Il aimait les cafés encombrés de meubles, comme le grand salon de la villa qu'il partageait avec Thea von Harbou. Il vouait à Graham Greene une certaine admiration, parce qu'il savait créer un climat, montrer les destinées sentimentales et à partir d'un banal incident entraîner le héros dans d'inimaginables désastres.<br /></p></blockquote>
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<strong>Alfred Eibel</strong> <em>Fritz Lang ou le dernier bond du Tigre</em>. — Paris, Klincksieck, 176 p., 21 €<br />
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(1) <strong>Fritz Lang</strong> <em>Trois Lumières. Ecrits sur le cinéma édité par Alfred Eibel</em>. — Paris, Ramsay, coll. Poche Cinéma, 376 p., 8,90 €.</p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2017/10/08/Alfred-Eibel-raconte-Fritz-Lang#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/3375Jubilé Alfred Eibelurn:md5:ab77870fe2e130bc2e897d98c3d6eebf2011-05-06T02:57:00+02:002011-05-09T13:17:57+02:00Le Préfet maritimeDernier reçu Premier serviAlbert t SerstevensAlfred EibelArmand GuibertFernando PessoaFritz LangIceberg SlimJean-Pierre MartinetJim ThompsonLéo MaletMichel SuryaNicolas BouvierPeter AltenbergRobert LudlumRobin CookYves Martin <p><img src="http://www.alamblog.com/public/.EibelDepassageAparis_m.jpg" alt="EibelDepassageAparis.jpg" style="display:block; margin:0 auto;" title="EibelDepassageAparis.jpg, avr. 2011" /><br />
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<strong>Alfred Eibel</strong> fait son jubilé. Journaliste, éditeur, sinophile et spécialiste du roman noir, ce drôle de paroissien récolte aujourd'hui les fruits d'une longue activité littéraire qui l'a amené à fréquenter d'autres personnages singuliers, tels son voisin de palier Jean-Pierre Martinet ou le poète Yves Martin.<br />
S'il se définit lui-même comme un "garagiste de la langue" (entretien dans le <em>Matricule des anges</em> à paraître en mai), il est indéniable qu'il est aussi constructeur (voir la <a href="http://www.alamblog.com/index.php/post/Bibliographie-des-editions-alfred-eibel">bibliographie lacunaire de ses éditions ici même</a>) et un producteur (roman, essais, pré et postfaces, articles, etc.)<br />
Trois ouvrages paraissent coup sur coup et... quelques autres s'annoncent, comme ces souvenirs depuis longtemps attendus.<br />
Deux titres sont déjà disponibles : le fameux <em>Hors Commerce</em> dont nous reparlerons car ce livre est un ouvrage unique repris par les éditions du Sandre qui n'ont certes pas ménagé leur audace en rééditant avec enthousiasme cet <em>opus magnum</em> étonnant ; et un premier recueil d'articles consacrés à des écrivains américains, <em>De passage à Paris</em>.<br />
La couverture conçue comme un flyer dit l'essentiel de ce que contient le livre. On peut souligner toutefois que les pages consacrées à Edward Bunker ou Iceberg Slim ne sont pas les moins étonnantes... (les autres auteurs passés à la question sont Jim Harrison, Robin Cook, Russell Banks, James Grady, Paul Auster, Toni Morrison, Jim Nisbet, Robert Ludlum, Lawrence Block, Michael Connelly, Kenneth White).<br />
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A suivre...<br />
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<strong>Alfred Eibel</strong> <em>De passage à Paris. Entretiens</em>. - <a href="http://www.finitude.fr/auteurs/eibel.htm">Finitude</a>, 120 pages, 13,50 €
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<strong>A paraître</strong><br />
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<strong>Alfred Eibel</strong> <em>Garde à vue. Entretiens et rencontres</em>. - Sète, Editions du Dauphin vert, 17 € En librairie le 20 juin prochain.<br />
Table des matières :<br />
Samuel Blumenfeld<br />
Stéphane Bourgoin<br />
Nicolas Bouvier<br />
Serge Brussolo<br />
Maurice G. Dantec<br />
Pierre Drachline<br />
Gilles-Morris Dumoulin<br />
Jean Dutour<br />
Claudine Frabre-Vassas<br />
Frédéric H. Fajardie<br />
Pascal Garnier<br />
José Giovanni<br />
Daniel Giraud<br />
Armand Guibert<br />
Fritz Lang<br />
Auguste Le Breton<br />
Michel Lebrun<br />
Jack-Alain Léger<br />
Gérard Legrand<br />
Robert Levesque<br />
Georges Londeix<br />
Léo Malet<br />
Yves Martin<br />
Jean-Pierre Martinet<br />
Georges Perros<br />
Jacques Perry, Guy Rohou, Jacques Serguine<br />
Patrick Raynal<br />
Françoise Sagan<br />
Jacques Serguine<br />
Jacques Siclier<br />
Michel Surya<br />
Albert t'Serstevens<br />
Marc Villard<br />
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<strong>Bibliographie d'Alfred Eibel</strong><br />
<em>Trois lumières, choix de textes de Fritz Lang</em> (Paris, Présence du Cinéma, 1964 ; rééd. Ramsay, 2007, "Ramsay poche").<br />
<em>Le chien merveilleux</em> (Paris, Acropole, 1987).<br />
<em>Jean-Bernard Pouy</em> (Paris, Méréal, 1996).<br />
<em>Les boulevards extérieurs de Marc Villard</em> (Paris, Méréal, 1997).<br />
<em>Almanach du polar</em> (Paris, Méréal, 1997).<br />
<em>Michel Lebrun, témoignages</em> (Paris, Hors commerce, 2002).<br />
En collaboration avec Françoise Montfort <em>500 façons d’éliminer son prochain</em> (Paris, Éditions Hors commerce, 2004).<br />
En collaboration avec Robert Gordienne <em>Les grandes erreurs judiciaires</em> (Paris, Le Cherche-Midi, 2007).<br />
Tout sur Columbo (Sète, 2ditions du Dauphin vert, 2011).<br />
Alfred Eibel (éd.) <em>Hors Commerce</em> (Paris, Éditions du Sandre, 2011).<br />
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Ajoutons à ces titres des préfaces à :<br />
<strong>Peter Altenberg</strong> <em>Ma vie en éclats</em> (Cognac, Le Temps qu'il fait, 1989)<br />
<strong>Armand Guibert</strong> <em>Périple des îles tunisiennes</em> (Paris, L'Esprit des péninsules, 1999).<br />
<strong>Albert t'Serstevens</strong> <em>Le Nouvel itinéraire espagnol</em> (Paris, Mémoire du livre, 2001).<br />
<strong>Albert t'Serstevens</strong> <em>Un apostolat</em>. Postface de Jean-Pierre Martinet (Courbevoie, Durante, 2002).<br /></p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2011/04/19/Jubil%C3%A9-Alfred-Eibel#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/1576Fritz Lang est de la rentréeurn:md5:0ab549935be68a6e866a8e4a7a8f11052007-10-05T19:46:00+02:002010-01-04T10:40:33+01:00Le Préfet maritimeDernier reçu Premier serviAlfred EibelFritz LangThea von Harbou <p><img src="http://www.alamblog.com/public/fritzlang.jpg" alt="fritzlang.jpg" /><br />
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Les cinéphiles savent quel must sont les <em>Trois lumières</em> de <strong>Fritz Lang</strong> (1880-1976).<br />
Publié en 1964, ce livre, recueil des écrits sur son art de Lang (et son épouse Thea von Harbou), enrichi de quelques commentaires avisés, reparaît dans la fameuse collection “Ramsay poche cinéma”.<br />
Pour la petite histoire, qui nous intéresse aussi, curieux que nous sommes, on apprend là des tas de choses croquignolettes sur les rapports de Lang avec les femmes, et avec la sienne en particulier dont les tigres d’Asie… Passons.<br />Dans une nouvelle préface, une prépréface adoncque, Alfred Eibel, l’éditeur du volume qui fut à l’occasion l’hôte de l’hollywodien, apporte d’autres lumières sur la culture du maître.<br />Un regal, rien de moins.
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<strong>Fritz LANG</strong> <em>Trois Lumières. Ecrits sur le cinéma</em>. Choix de textes et avant-propos (et prépréface) d’Alfred Eibel — Paris, Ramsay, 2007, 376 pages.</p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2007/10/05/Fritz-Lang-est-de-la-rentree#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/612