L'Alamblog - Mot-clé - Groupe Octobre - Commentaires2024-03-29T07:58:15+01:00Le Préfet maritimeurn:md5:891a4437ffb56035bcdd99ce6fc8c9f0DotclearJean Ferry, son train, son tigre et ses mille sommeils - rogerurn:md5:c8221e7952ba27d9eb624ed8d58829e92014-12-30T07:22:09+01:002014-12-30T07:22:09+01:00roger<p>je viens de voir le film de Luis Bunuel "Cela s'appelle l'aurore" et j'ai voulu en savoir plus sur l’adaptateur. Quelle fut ma surprise d'apprendre qu'il changea de nom pour prendre un patronyme juif! Alors que, même encore aujourd'hui, on fait plutôt l'inverse. Vous qui me paraissez bien savant, pourriez-vous nous expliquer cela?<br />
Merci pour cette charmante et très intéressante histoire d'entreprise auto-gérée. Moi qui en plus adore les dattes...</p>Jean Ferry, son train, son tigre et ses mille sommeils - Atelier André Bretonurn:md5:17630dbe5bbe893890b02bafba03c2702011-08-04T16:28:45+02:002011-08-05T16:52:35+02:00Atelier André Breton<p>C'est plutôt Jacqueline Lamba, celle qui inspira L'Amour fou, non ?</p>
<p>Merci pour cette courte bio-biblio - que je reprends pour éclairer les lecteurs du site Breton.</p>
<p>Bien amicalement</p>
<p>CK</p>Jean Ferry, son train, son tigre et ses mille sommeils - oneofthemurn:md5:01e29317434b2f7e8269fb34a16463412011-07-28T00:48:49+02:002011-07-28T13:25:17+02:00oneofthem<p>Cher Préfet maritime,</p>
<p>Saviez-vous (vous le saviez certainement !), qu'en 1992 a paru, chez Maren Sell / Calmann-Lévy, une édition du Mécanicien et autres contes de Jean Ferry ? J'aimerai vous adresser un scan de la couv’ de cet opus, mais je ne retrouve plus votre mail ! C'est avec plaisir que je prendrai connaissance des inédits de Ferry proposés par Finitude.</p>
<p>Bien cordialement,</p>
<p>Fabrice Lefaix</p>Jean Ferry, son train, son tigre et ses mille sommeils - Alain Paireurn:md5:b98bf2893e8de5b4b6f1de49b027aa8e2011-07-14T06:00:11+02:002011-07-14T09:30:16+02:00Alain Paire<p>Fin 1940 et pendant plusieurs trimestres, peut-être jusqu'en 1942, Jean Ferry et sa femme Lila qui s'étaient réfugiés à Marseille ont participé à une aventure autogestionnaire et surréalisante, à mon sens trop mal connue et que je raconte souvent, la coopérative des Croque-Fruits, imaginée et construite par les proches amis de l'acteur et metteur en scène Sylvain Itkine. Trois heures et demi par jour ils fabriquaient avec quelques dizaines de copains des "fruits mordorés", un mélange de dattes et de pâtes d'amande. Mis à part les trois dirigeants de cette micro-entreprise, chaque croque-fruitard touchait le même salaire, 80 francs par jour, mieux qu'un ouvrier de l'époque, de quoi s'offrir l'hôtel et vivre normalement.</p>
<p>Cette coopérative avait pour siège près de la Porte d'Aix et de l'autoroute, la rue des Treize Escaliers, une rue récemment détruite. Parmi les coopérateurs, il y avait d'autres réfugiés, des passants considérables qui s'appelaient Jacques Hérold, Vlady Serge, Oscar Dominguez, Yannick Bellon, Françis Lemarque, Fabien Loris, Gilbert Lely, Jean Malaquais et Jean Mercure. Benjamin Péret qui fréquenta la rue des Treize escaliers avant de partir pour le Mexique avait une immense affection pour cette aventure.</p>