L'Alamblog - Mot-clé - Isabelle Eberhardt2024-03-18T23:52:57+01:00Le Préfet maritimeurn:md5:891a4437ffb56035bcdd99ce6fc8c9f0DotclearVictor Barrucand et Isabelle Eberhardturn:md5:ce806ebabc099c76951a7face28e8efe2023-02-22T00:56:00+01:002023-02-22T00:56:00+01:00Le Préfet maritimeApostilleAlgérieExotismeFrancis de MiomandreIsabelle EberhardtVictor Barrucand <p><img src="http://www.alamblog.com/public/.BarrucandEberhard_m.jpg" alt="BarrucandEberhard.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="BarrucandEberhard.jpg, fév. 2023" /><br />
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En illustration d'un article sur la littérature exotique du jeune Francis de Miomandre pour la <em>Revue illustrée</em> du 5 février 1906.<br />
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<br /></p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2023/02/14/Barrucand-et#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/5655L'Anarchie est de saisonurn:md5:ea92c7841ab60c768349b687412db70b2008-02-06T06:36:00+01:002009-08-13T13:50:39+02:00Le Préfet maritimeDernier reçu Premier serviAlphonse AllaisAnarchieCaroline GranierDespatin GobeliFlor O SquarrFélix FénéonGeorges DarienGuillaume ApollinaireIsabelle EberhardtJacques ValletJean RéflecJules VallèsKerlerouxLe Fou parleLise Le CoeurLouise MichelOctave MirbeauRoland ToporVictor Barrucand <p><img src="http://www.alamblog.com/public/breves84.jpg" alt="breves84.jpg" /><br /><br /><br />
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Avant que ne flambe la révolte que d’aucuns attendent, la revue <em>Brèves</em>, toujours en avance sur la prochaine ébullition, produit un numéro monté par la spécialiste <a href="http://raforum.info/article.php3?id_article=2333">Caroline Granier</a> : <strong><a href="http://www.alamblog.com/editeurs/Breves-no84.html">Les Retourneurs d’Idées</a></strong>.<br />Consacré aux écrivains anarchistes, peuplade lue au sens large, on y lit des nouvelles de <strong>Georges Darien</strong>, <strong>Jules Vallès</strong>, <strong>Isabelle Eberhardt</strong>, <strong>Louise Michel</strong>, <strong>Félix Fénéon</strong>, <strong>Victor Barrucand</strong>, <strong>Octave Mirbeau</strong>, <strong>Jean Réflec</strong>, <strong>Flor O’Squarr</strong>, dont Apollinaire pensait tant de bien et qui livre ici une curiosité sur la Commune… ou encore <strong>Alphonse Allais</strong> qui ne dépare pas ici.<br />Et pour cause : Allais ne dépare jamais.<br />
Entendu que pour ces hommes et femmes de combat, le livre est une arme destinée à libérer l’être humain, Caroline Granier explique en préambule comment ils dénoncent les « fictions sociales » dont l’ordre établi se sert pour abêtir et asservir le populo. Soit littérature de combat versus littérature de propagande.
Dans le même numéro, mais à rebours, un dossier est consacré à <strong>Jacques Vallet</strong>, le Jacques Vallet, écrivain qui fut d’abord le meneur de la revue <strong><em>Le Fou parle</em></strong>, une revue de poids dont on n’a pas fini de parler - Il se pourrait bien que l’Alamblog, une fois les sommaires de <em>Bizarre</em> consommés, se consacre à lui dorer la vitrine, n° par n°. On découvrira alors peut-être quelle revue fondamentale fut <em>Le Fou parle</em>, organe libre et libéré.<br />
Pour <em>Brèves</em>, on sait déjà.<br />
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<strong><a href="http://www.alamblog.com/editeurs/Breves-no84.html" hreflang="fr">BREVES. Les Retourneurs d’Idées</a></strong> (n° 84)<br />
avec Photos et dessins de Despatin & Gobeli, Lise le Coeur, Kerleroux et Roland Topor.
144 pages, 12 euros</p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2008/02/05/LAnarchie-est-de-saison#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/696La littérature est mauvaise fille (Joyeux Noël aussi !)urn:md5:4de4b0133b2c1b23070040f9b6f51ba32006-12-24T08:59:00+00:002009-07-01T21:26:41+00:00Le Préfet maritimeDernières nouvelles du Préfet MaritimeAlexandre MercereauAndré PaysanCharles de CoynardCharles FegdalCharles MonseletFernand FleuretGabriel de LautrecIsabelle EberhardtJean RichepinJoseph MéryLéo LespesMauvaise filleMichel NedjarPierre CoutrasRemy de GourmontThéo Varlet<p><img src="http://www.alamblog.com/images/Nedjar.jpg" alt="" /><br />(<em>Michel NEDJAR, crayons noirs divers sur enveloppe, 16 septembre 2001, coll. part.</em>)<br /></p>
<p><strong>Soyez chics avec votre Vous, votre Moi, votre Ça et votre Sur-Ça (sans parler de votre Monte-là-dessus)</strong></p>
<blockquote><p><strong>Offrez-vous LA LITTERATURE EST MAUVAISE FILLE !</strong><br /></p>
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<strong>14 nouvelles <em>increvables</em></strong><br /></p></blockquote>
<blockquote><p><strong>Des présentations <em>poilantes</em></strong><br /></p></blockquote>
<blockquote><p><strong>Des bibliographies <em>béton</em></strong><br /></p></blockquote>
<blockquote><p><strong>Une couverture doublée d’un frontispice de Michel NEDJAR ! (ça c’est pas rien !!!)</strong><br /></p>
<p></p></blockquote>
<p>Bref, pour ne rien vous cacher :<br /></p>
<blockquote><p><strong>UN LIVRE DE <em>PRESTIGE</em></strong><br /></p></blockquote>
<blockquote><p><strong>équipé d’un sommaire de <em>prestige</em></strong><br /></p></blockquote>
<p>(que même l’ambassadeur qui frime avec ses Ferrero en aluminium doré y peut pas se le payer !)<br /></p>
<p><img src="http://www.alamblog.com/images/arton2111.jpg" alt="" /><br /><strong>Eric DUSSERT</strong> <em>La Littérature est mauvaise fille</em>. Illustration de Michel Nedjar. — Villelongue d’Aude, L’Atelier du Gué, 198 p., 19 €<br /></p>
<p>Pour se le procurer :<br />
<a href="http://www.lekti-ecriture.com/editeurs/La-litterature-est-mauvaise-fille.html">Lekti-ecriture.com</a><br />
<a href="http://www.atelierdugue.com/index.php?page=50&op=FicheProduit&id=189&catid=4&suite=0">Les éditions L’Atelier du Gué</a><br /></p>
<p>Pour découvrir la table des matières, cliquez sur “Lire la suite”.</p> <blockquote><p><strong>Eric Dussert</strong> Mise en garde (2006)<br /></p>
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<strong>Charles MONSELET</strong> Le Voyage dans mes poches (1873)<br /></p>
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<strong>François VALORBE</strong> La Loterie cruelle (1959)<br /></p>
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<strong>Charles de COYNARD</strong> La Vengeance de l’oncle Jean (1937)<br /></p>
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<strong>Léo LESPES</strong> Les Voyages d’un sac de bonbon (1866)<br /></p>
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<strong>Jean RICHEPIN</strong> Bonjour, monsieur ! (1876)<br /></p>
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<strong>Isabelle EBERHARDT</strong> Amara le forçat (1923)<br /></p>
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<strong>Remy de GOURMONT</strong> Sur le seuil (1894)<br /></p>
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<strong>Charles FEGDAL</strong> Un trottin (1920)<br /></p>
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<strong>André PAYSAN</strong> Conte oriental (1913)<br /></p>
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<strong>Alexandre MERCEREAU</strong> La Maison mystérieuse ou trois et sept (1907)<br /></p>
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<strong>Gabriel DE LAUTREC</strong> L’Expiation (1922)<br /></p>
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<strong>Pierre COUTRAS</strong> Un beau rêve (1922)<br /></p>
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<strong>Fernand FLEURET</strong> Cinéma (1925)<br /></p>
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<strong>Joseph MERY</strong> Les Ruines de Paris (1856)<br /></p>
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<strong>Théo VARLET</strong> Le Tonnerre de Zeus (1904)<br /></p>
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Bibliographies<br /></p></blockquote>
<p>Pour se procurer l’opus, rien de plus simple :
En attendant que le livre soit en librairie (si ces Messieudames de la Librairie françouaise — bien aussi censeurs que ces Messieudames de la Critique françouaise— daignent condescendre à accepter d’envisager l’idée qu’ils pourraient être amenés peut-être à profiter de l’opportunité de la parution de ce livre pas moins bon qu’un autre (vous pensez) pour en vendre un ou deux, mais c’est pas gagné), soit après le 15 janvier (pas mieux), nous vous conseillons sans vergogne cette double piste qui vous comblera d’aise :<br />
- <a href="http://www.lekti-ecriture.com/editeurs/La-litterature-est-mauvaise-fille.html">Lekti-ecriture.com</a><br />
- <a href="http://www.atelierdugue.com/index.php?page=50&op=FicheProduit&id=189&catid=4&suite=0">Les éditions L’Atelier du Gué</a><br /></p>
<p><strong>Rappel</strong><br />
<img src="http://www.alamblog.com/images/arton2111.jpg" alt="" /><br /><strong>Eric DUSSERT</strong> <em>La Littérature est mauvaise fille</em>. Illustration de Michel Nedjar. — Villelongue d’Aude, L’Atelier du Gué, 198 p., 19 €<br /></p>
<p><strong>Invitation</strong><br />
Nous lancerons prochainement une vaste enquête : Parmi ces quatorze nouvelles, quel est votre texte préféré ? Et pourquoi ? Les réponses seront publiées ici même.</p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2006/12/24/238-la-litterature-est-mauvaise-fille#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/420Une imprécision (Isabelle Eberhardt les attire)urn:md5:ded69ec5794d8bf0507371df7afc07922006-08-25T11:23:00+00:002009-09-02T16:56:55+00:00Le Préfet maritimePlouf !Isabelle EberhardtRené-Louis DoyonVictor Barrucand <p>Dans un article nécrologique consacré à l’Américaine <strong>Cecily Mackworth</strong> (1911-2006), bien connue des mallarméens, Anthony Sheridan avance qu’un séjour de la voyageuse en Algérie en 1950 procura à la communauté intellectuelle <q>la première biographie d’Isabelle Eberhardt</q> (<em>Le Monde</em>, 18 août 2006, p. 26). Ca n’est pas qu’un peu surprenant, c’est confondant. Et confusionnant. Mais, au sujet d’<strong>Isabelle Eberhardt</strong>, engloutie par un torrent de boue à Aïn-Sefra le 21 octobre 1904, cette approximation n’est jamais que la dernière en date.<br />
Si le livre en question, <em>The Destiny of Isabelle Eberhardt</em> (1954 ; traduction française : 1956) fut peut-être la première biographie de la Nomade aux USA, la rédaction du <em>Monde</em>, qui reste un journal destiné à ces pauvres pommes de Français, aurait pu préciser, ou amender, ou corriger en précisant que cet essai venait au contraire enrichir une exégèse déjà très riche.<br /><img src="http://www.alamblog.com/images/freya.jpg" alt="" />
On peut d’ailleurs signaler à la louche une bonne pelletée de travaux antérieurs, signés <strong>Jean Moréas</strong>, par exemple, dans ses <em>Variations sur la vie et les livres</em> (Mercure de France, 1910, pp. 255-261). Encore faut-il se souvenir de Jean Moréas, hum ?<br />
Le plus efficace, si ce n’est le plus exempt d’imprécisions, fut tout de même <strong>René-Louis Doyon</strong>. Ce bibliopole a fourni à plusieurs reprise des éditions des écrits de la jolie russo-helvète, toujours enrichies de ses préfaces documentaires.<br /></p>
<ul>
<li>D’abord une <q>Sincérité d’Isabelle</q> précédant deux nouvelles inédites (<q>Amara le forçat</q> et <q>L’Anarchiste</q>, Edouard Champion, 1923, coll. <q>Les Amis d’Edouard</q>);</li>
<li>ensuite <q>La Vie tragique de la bonne nomade</q> accompagnant <em>Mes journaliers</em> (La Connaissance, 1923, coll. <q>Les Textes</q>, n° 4);</li>
<li>un avant-lire dans le superbe et rare et onéreux petit volume des <em>Contes et paysages</em> (La Connaissance, 1925, <q>Collection d’art</q>, n° 12);</li>
<li>enfin, près de vingt ans plus tard les <q>Infortunes et ivresses d’une errante</q> dans <em>Au pays des Sables</em> (Sorlot, 1944, coll. <q>Bibliothèque maritime et coloniale</q>).</li>
</ul>
<p>Par la suite, René-Louis Doyon donna encore de <q>Vifs Compléments à la biographie d’Isabelle Eberhardt</q>, (<em>Quo Vadis</em>, n°74-75-76, octobre-décembre 1954, pp. 28-34 ; un tiré-à-part a été diffusé). Mais cette liste n’est pas exhaustive puisque Doyon profita de chaque occasion qui se présentait à lui pour évoquer Isabelle, dans la presse notamment :<br /></p>
<ul>
<li><q>Une Russe au désert. L’invention d’Isabelle Eberhardt</q> dans la <em>Revue de la semaine illustrée</em> (23 septembre 1921, pp. 411-424);</li>
<li><q>Isabelle Eberhardt</q> dans <em>L’Intransigeant</em> (4 mars 1922);<br /></li>
<li><q>L’Esclave errante et Les Mortifiés d’Isabelle Eberhardt</q> dans ses propres <em>Livrets du Mandarin</em> (2e année, n° 7, janvier-février 1924, pp. 26-28);<br /></li>
<li><q>Profils perdus et retrouvés. Une femme errante : Isabelle Eberhardt</q> dans <em>La Justice</em> (21 avril 1939);<br /></li>
<li>et enfin <q>Une femme au désert, Isabelle Eberhardt dans sa vie et au théâtre</q> (source inconnue, circa avril 1939).</li>
</ul>
<p>Un peu plus tôt, le droitier Raoul Stephan fourbit en volume un <em>Isabelle Eberhardt, ou La Révélation du Sahara</em> (Flammarion, 1930, préface de Victor Margueritte), réputé controuvé, mais les sérieux <strong>Hector Talvart et Joseph Place</strong> sauveront les meubles en réservant une confortable place à la belle Isabelle dans leur <em>Bibliographie des auteurs modernes de langue française</em> (Editions de la Chronique des lettres françaises, 1935, T. V, pp. 161-sq.).
Last but not least, l’algérianiste <strong>Robert Randau</strong> (pseud. de Robert Arnaud, 1873-1950) publia pour sa part un <em>Isabelle Eberhardt, notes et souvenirs</em> (Alger, Edmond Charlot, 1945 ; rééd. Paris, La Boîte à documents, 1989). Dès 1911, Randau avait publié un roman à clefs, <em>Les Algérianistes, roman de la patrie algérienne</em> (Paris, Sansot, 1911) dans lequel la Russe Sophie Peterhof, surnommée Si-Yahia, renvoyait directement à la figure d’Isabelle Eberhardt…<br />
N’en jetons plus. L’histoire éditoriale posthume de la Bonne Nomade fut, à tout point de vue, un drôle de micmac. Devenue l’enjeu d’algérianistes mal étanches, avant de devenir celle de féministes peu regardantes, elle valut à Victor Barrucand une réputation infecte et injustifiée, de même qu’à René-Louis Doyon quelques horions. Celui-ci par exemple, qui ne manque pas d’épice :<br /></p>
<blockquote><p>« Une limace sur la rose*. Ancien commis de librairie chez un éditeur en faillite, un cacographe et pisseur d’encre qui se prétend homme de lettres (…) dans un but de lucre, un certain M. Doyon, marchand de papier, vaguement éditeur, vient de publier, après les avoir tripatouillé à sa façon une partie de ces papiers. Comme Barrucand, il empochera, sans scrupules, de la galette, beaucoup de cette bonne galette, qui devient de plus en plus rare et précieuse par le temps qui court. » (Pierre Vigné d’Octon, <q>La Vie littéraire. Pirates et mercantis de lettres : A propos d’Isabelle Eberhardt, de son oeuvre et de sa vie</q> in <em>La Revue anarchiste</em>, n° 21, octobre 1923).</p></blockquote>
<p><em>* La limace, c’est René-Louis Doyon, bien sûr.</em><br /></p>
<p>Mais tout ceci n’enlève aucun mérite au livre de Cecily Mackworth, <em>Le Destin d’Isabelle Eberhardt, traduction, préface et notes par André Lebois</em> (Oran, Fouque, 1956) dont Gaston Roger rendit compte dans l’inestimable <em>Europe</em> (n° 127, juillet 1956, pp. 169-171).<br />
Signalons pour conclure que <strong>Lesley Blanch</strong> évoqua ce personnage hautement exotique la même année que Cecily Mackworth dans <em>Les Rives sauvages de l’amour</em> (Plon, 1956).<br /></p>
<p>Voilà qui fait bien du monde tout de même.</p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2006/08/25/90-une-imprecision-isabelle-eberhardt-les-suscite#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/292