L'Alamblog - Mot-clé - Isabelle Eberhardt - Commentaires2024-03-18T23:52:57+01:00Le Préfet maritimeurn:md5:891a4437ffb56035bcdd99ce6fc8c9f0DotclearUne imprécision (Isabelle Eberhardt les attire) - edition-originaleurn:md5:c71dd30b0cf06930c813a025d38c3cc72013-01-18T17:15:24+01:002013-01-22T22:30:47+01:00edition-originale<p>J'ai fait une petite notice sur ce thème, à lire ici : <a href="http://www.edition-originale.com/images/catalogues/79.PDF" title="http://www.edition-originale.com/images/catalogues/79.PDF" rel="nofollow">http://www.edition-originale.com/im...</a> , remarques et commentaires bienvenus !</p>Une imprécision (Isabelle Eberhardt les attire) - celinkaurn:md5:cc4c8fea250ce1d2c20c5db50592dff72012-11-01T07:13:56+01:002012-11-02T10:25:37+01:00celinka<p>On peut citer aussi des détecteurs de talents autrement sérieux : Francis de MIOMANDRE avait écrit "Isabelle Eberhardt et le préjugé des races" dans Le Feu, 1er avril 1906, p. 528-539. Fénéon le renifleur voulait éditer une compilation de nouvelles illustrée par Matisse en 1920...</p>Une imprécision (Isabelle Eberhardt les attire) - Le Préfet maritimeurn:md5:8508639a0a5611971f780cca842206222012-10-25T11:56:57+02:002012-10-25T11:01:37+02:00Le Préfet maritime<p>BIen sûr ! L'inimitié des deux était totale, elle date probablement des années algériennes de Doyon... L'enquête reste à mener précisément.</p>Une imprécision (Isabelle Eberhardt les attire) - edition-originaleurn:md5:07295cf2ae0b9c28730670ef9cb1749c2012-10-24T16:45:20+02:002012-10-24T17:11:16+02:00edition-originale<p>Peut-être également, l'ire de Vigné d'Octon se nourrit-elle du jugement de Doyon à son égard :"M. Vigné d'Octon, avec la pauvre brutalité du médicastre, la peint à tout prix en nouvelle Héloïse. (...) Aucune de ses assertions ne mérite créance et il suffit d'avoir établi publiquement ses grossières inventions pour ne lui accorder plus d'attention". (La vie tragique de la bonne nomade, 1923)</p>La littérature est mauvaise fille (Joyeux Noël aussi !) - clovis simardurn:md5:ff24335829cf8df183246b59a6f9ac892010-11-14T14:31:43+01:002010-11-14T21:15:45+01:00clovis simard<p>Bonjour,</p>
<p>Joyeux Noël !</p>
<p>L'Existence du Père Noël réconcilie DURÉE et SIMULTANÉITÉ de la Physique Quantique.</p>
<p>Voir la page l'Énigme du Père Noël sur mon Blog (fermaton.over-blog.com)</p>
<p>Cordialement</p>
<p>Clovis Simard</p>L'Anarchie est de saison - Christian Hiverturn:md5:aad020aa0b77cbfbbbae4b8f761564602009-08-17T14:31:40+02:002009-08-17T16:29:24+02:00Christian Hivert<p>“Où l’on s’aperçoit, sans y prendre garde, que Georges Darien qui écrivit “Le Voleur” en 1897 ne fut en fait qu’un minable petit bourgeois qui s’encanailla, et que la douleur métaphysique des gosses de riches, lorsqu’elle prend la forme d’une commisération révoltée pour l’exploitation qui nous asservit, ne nous émeut ni ne nous fait frémir, mais nous enfle le coeur de haine, quelque soit le parcours pseudo-combattant qu’ils utilisent dans leurs vies! “</p>
<p>Blême :</p>
<p>“Très pâle, livide, en parlant du visage, du teint de quelqu’un. Il était blême de rage.”</p>
<p>“D’un blanc mat et terne, blafard. Des murs blêmes.”</p>
<p>Argot : “Etres humains, désocialisés vivant dans les zones non intégrables au processus, sauvage.”</p>
<p>Dictionnaire Larousse année 2041.</p>
<p>Qu’est-ce qu’il fait chaud dans cette classe ! Si on ouvre les fenêtres c’est l’air toxique de la ville, si on ne fait rien, pas d’air. Il se leva et sortit griller une beda dans le couloir. Ces cours lui étaient indispensables maintenant, mais ça l’assommait. Le prof avait bien du mérite ; c’est vrai que c’était un militant, il avait le courage de la conviction !</p>
<p><a href="http://www.mouvementautonome.com/article-34961097.html" title="http://www.mouvementautonome.com/article-34961097.html" rel="nofollow">http://www.mouvementautonome.com/ar…</a></p>Une imprécision (Isabelle Eberhardt les attire) - kempf-rochdurn:md5:18b94418cdfe4ac502ed4344b975c6612009-07-22T15:18:09+02:002009-07-31T09:06:53+02:00kempf-rochd<p>Vous auriez pu ajouter à votre liste le témoignage de Lucie Delarua-Mardrus qui a été jusqu’à la zaouïya de Kenadsa, une année après le décès d’Isabelle Eberhardt et qui a été sur sa tombe à Aïn Sefra (cf. L’Orient tel que je l’ai connu, 1945, éd. Lugdunum)</p>Une imprécision (Isabelle Eberhardt les attire) - les liensurn:md5:529a5f44f5dc56300c1add5090e3f7492007-10-13T15:39:44+02:002007-10-15T11:43:59+02:00les liens<p>Pierre Vigné d'Octon avait sans doute quelques raisons de traiter Doyon ainsi. La première biographie d'Isabelle Eberhardt parue en 1913 est signé de Pierre Vigné D'octon. Doyon s'en inspira largement sans jamais faire référence au travail d'Octon.Vous comprendrez sans doute la colère de ce dernier.</p>La littérature est mauvaise fille (Joyeux Noël aussi !) - M. Ch.urn:md5:2a9de9d61ed9102199edc032df7129ea2006-12-21T22:05:47+00:002006-12-21T23:41:32+00:00M. Ch.<p>J'en ai rêvé, j'ai vu, j'ai acheté, j'ai lu, j'ai aimé…<br />
Merci pour le mordant des portaits, le choix des nouvelles, le respect du lecteur, et de nous rappeler à la mémoire de ces grands oubliés.<br />
Marie.<br />
</p>La littérature est mauvaise fille (Joyeux Noël aussi !) - Amer, revue finissanteurn:md5:3ee90a35dfea968f062c8d30bf9f94452006-12-21T16:40:19+00:002006-12-21T17:39:02+00:00Amer, revue finissante<p>Je ne connais pas les bonnes manières sur internet ; peut-être apparaîtrai-je alors malséant en commentant cette enthousiasmante sortie de "la littérature est mauvaise fille" en annonçant celle, plus confidentielle encore, de sa cousine, fleur de pavé, Amer, petite revue finissante qui semble avoir les mêmes goûts littéraires, mais peut-être pas le même arrière goût. C'est que l'amertume se déclare tard, mais reste sur la langue...<br />
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Pour les curieux et les curieuses...<br />
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"Acrimonie, haine, amertume, colère, aigreur, mélancolie, atrabile, fiel...<br />
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Amer est une revue finissante consacrée aux littératures finiséculaires et à ce qui s'y rapporte, de près ou de loin.<br />
Le premier numéro sera disponible dès la fin du mois de décembre. Fin d'année à défaut de fin-de-siècle.<br />
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Au sommaire de ce premier numéro, entretiens avec Claude Izner et Paris Violence, articles d'Alain Buisine (Byzance copronyme), Johan Grzelczyk (Nietzsche et la modernité décadente), Ian Geay (Irrumations fin-de-siècle), nouvelles de Richepin (les soeurs moches), Maupassant (l'enfant), Schwob (les sans-gueule), Louÿs (poésies), Mirbeau (la vache tachetée) et annonces de colloques et sorties de livres.<br />
12x19cm, 152 pages.<br />
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Pour le commander, envoyez 4 euros (gratuit pour les prisonnier-es et les sans-le-sou)à l'adresse suivante Amer, 82 rue Colbert 59000 Lille. Les échanges sont les bienvenus. Chèques à l'ordre des "Ames d'Atala". Pour réserver ou obtenir plus de précisions, notre contact mèl : <a href="mailto:zamdatala@hotmail.com" rel="nofollow">zamdatala@hotmail.com</a>.<br />
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En vie, en guerre.<br />
Mort, en paix"<br />
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Que dire, si ce n'est qu'on se sent moins seul... <br />
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Responsable : i. g.<br />
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Adresse :<br />
82 rue colbert 59000 Lille.<br />
</p>La littérature est mauvaise fille (Joyeux Noël aussi !) - Chantal V.urn:md5:b009e73333bcc97ea0518ba9d8bd2c8c2006-12-21T16:31:10+00:002006-12-21T17:39:20+00:00Chantal V.<p>Bonjour, en fait je tombe par hasard sur votre blog. La couverture de l'ouvrage que vous chroniquez attire mon regard. Je vais lire cet ouvrage. merci.<br />
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