L'Alamblog - Mot-clé - Jaune2024-03-29T01:51:09+01:00Le Préfet maritimeurn:md5:891a4437ffb56035bcdd99ce6fc8c9f0DotclearLe Rouge et le jaune, par Léon et Maurice Bonneffurn:md5:9f440153b80a477fa06f114948bb678c2021-02-07T04:09:00+01:002021-02-08T17:30:50+01:00Le Préfet maritimeLes Vrais Coupe-FaimBriseurs de grèvesJauneLéon BonneffMaurice BonneffRougeSyndicalisme <p><img src="http://www.alamblog.com/public/bonneffrougejaune.jpg" alt="bonneffrougejaune.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="bonneffrougejaune.jpg, nov. 2014" />
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Pour célébrer une fois encore la parution en poche d'Aubervilliers, le grand roman documentaire de Léon Bonneff...
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<blockquote><p>Ils habitaient au 6 du passage des Anglais un logis d'une seule pièce dans laquelle vivaient huit personnes. Car ils avaient six enfants !<br />
Quand la femme avait débarbouillé, habillé, soigné, "raccommodé" les six petiots, elle n'avait fait que la moitié de sa besogne. Le matin, elle conduisait deux de ses marmots à la crèche; une voisine, plus tard, emmenait les autres à l'école, et la mère s'en allait travailler dans la grande maison d'alimentation où elle était manutentionnaire !<br />
Le mari, un gars solide, exerçait une profession pour laquelle il faut une grande vigueur et beaucoup d'habileté. Il était ouvrier de la charpente en fer.<br />
Franc compagnon, adroit, pas buveur, il gagnait ses vingt-trois sous comme chef d'équipe, ce qui fait 11 fr. 50 par jour. C'est un bon salaire ; mais il y a beaucoup de chômage parce que, en dehors de l'hiver qui arrête les travaux, le tâcheron sévit qui pousse les hommes à surproduire.<br />
L'ouvrier de la charpente en fer était syndiqué. Il cotisait et il militait.<br />
Il disait à sa femme Je suis syndiqué, parce que l'organisation a fait augmenter notre salaire, parce qu'elle combat pour améliorer notre sort. Notre sort est triste à nous qui élevons six enfants !<br />
Sa femme répondait : Nous devons être avec le syndicat! Et elle adhéra elle-même à la corporation de son métier.<br />
Quand les 80.000 travailleurs du bâtiment firent grève pour demander la journée de neuf heures, la fin du tâcheronat, seuls remèdes au mal du chômage, l'ouvrier de la charpente en fer abandonna son chantier et sa femme ne le blâma pas.<br />
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Un jour de l'autre semaine, comme elle revenait après l'ouvrage, au réduit du passage des Anglais, un homme près de la porte lui dit :<br />
Votre mari est à la Morgue. Il a été tué par les renards d'un coup de couteau à la nuque !<br />
Telle fut la vie, telle fut la mort du rouge Paul Armand; gréviste de la charpente en fer.<br />
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La société est ainsi faite qu'elle dresse les uns contre les autres les hommes de la même classe, les gueux, les déshérités. Conflits navrants mais inévitables. La logique voudrait qu'il n'y eût qu'une seule armée de spoliés luttant contre la Force capitaliste. L'ignorance fait qu'il y a des jaunes !<br />
Ce que nous voudrions démontrer ici, par un exposé rigoureusement impartial, c'est que le jaune est toujours une dupe.<br />
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II y a deux espèces de jaunes. D'abord l'ouvrier qui écoute trop les criailleries et les reproches d'une « ménagère » craintive. - Eh quoi, encore la grève ? Mais nous n'avons plus le sou, mais nous venons de payer le terme. Rappelles-toi que tu es resté sans ouvrage cet hiver Et tu veux te croiser les bras maintenant que le travail reprend un peu ? Ils choisissent bien le moment, tes amis, pour faire la grève !<br />
Mais c'est justement parce que le « boulot » reprend que nous avons chance de gagner la partie §<br />
- A quoi ça vous servira de faire grève ?<br />
- Est-ce que nous avons pu obtenir « quelque chose » par un autre moyen ?<br />
Il y a deux ou trois ans, je gagnais mes huit sous l'heure. Si j'en ai maintenant douze, si je peux mettre six francs par jour dans le ménage c'est parce que j'ai fait grève avec les copains !<br />
Mais il n'a pas la volonté de résister longtemps aux lamentations de sa compagne. Il travaille, en cachette. Pour aller dans la bâtisse en construction, il met ses habits du dimanche. De cette façon il n'a pas l'air d'un ouvrier, et il ne se fait pas remarquer des chômeurs. Il laisse ses outils et sa blouse là où il besogne. Il s'en va le soir avant six heures pour ne pas rencontrer les camarades qui font le guet aux heures de sortie. Il emploie mille précautions. Mais il est honteux, il sait « qu'il n'est pas un homme ! »<br />
Supposons que d'autres aient fait comme lui et que la grève soit vaincue parce que seuls une poignée d'ouvriers ont mené la lutte (1),<br />
L'employeur alors ne met plus de borne à l'exercice de son pouvoir. Ce n'est pas seulement le rouge, mais aussi le jaune qui est brimé. Le prolétariat est solidaire quand les ouvriers d'industrie réussissent une grande grève, les plus paisibles des fonctionnaires ressentent indirectement, dans leur administration, les bienfaits de l'action engagée par les audacieux. Mais de même que les jaunes profitent des succès remportés par les rouges, ils pâtissent des revers que les rouges essuient. Les jaunes font un jeu de dupes !<br />
Aussi, tôt ou tard, adoptent-ils la tactique des rouges. Pendant le mouvement du textile, la grève du Nord fut acclamée par les jaunes qui ne voulaient plus être dupes.<br />
Les charpentiers affiliés aux vieilles sociétés compagnonniques avaient refusé de suivre les rouges dans leur grève de 1907. Il faut croire que les compagnons regrettèrent leur attitude, qu'ils la considérèrent comme erreur de dupes, puisque dans l'imposante levée du bâtiment de 191 ils emboîtèrent le pas aux syndiqués !<br />
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Mais il est une autre espèce de jaunes. Des forbans, méditant sur le conflit qui met aux prises le capital et le travail, des écumeurs considérant la guerre des pauvres et des riches se sont dit « Il y a là de l'argent à gagner » Et ils se sont efforcés de constituer des équipes pour briser les grèves. Ils se sont faits racoleurs de renards. Ils ont offert aux patrons de leur fournir des hommes en remplacement des syndiqués. Ils ont monnayé la haine et la peur qui s'emparent des privilégiés. Certains se font remettre' de l'argent en échange d'une main-d'œuvre qu'ils sont incapables de fournir. D'autres arrivent à constituer un personnel de fortune. Ils font venir de province des malheureux. Ils vont chercher dans les asiles de nuit les débris des capitales. On a vu des vagabonds sortir des refuges au petit jour et conduits en breacks sur des chantiers, pour remplacer des grévistes monteurs-levageurs. On a vu des chômeurs, des porteurs aux Halles, des hommes de corvée, être embauchés pour prendre la place des gars du bâtiment. Ceux qui ont le goût du travail peuvent faire des manœuvres passables. Le briseur de grèves trompe l'employeur en lui présentant ces épaves comme des professionnels. Lorsque le patron s'aperçoit de la supercherie, il n'ose pas congédier l'équipe, car il espère que les grévistes, en voyant leurs remplaçants, craindront d'être évincés définitivement de leur emploi et partant feront leur soumission.<br />
Faux calculs ! Quoi qu'il en soit, des jaunes travaillent quand les ouvriers combattent. Mais lorsque le mouvement est fini, que les grévistes ont repris l'outil, qu'advient-il des renards embauchés pendant la grève ?<br />
Le patron ne se soucie pas de conserver ces gens inhabiles, ces non-professionnels, ces « gâcheurs », ces « sabots ». Le patron renvoie les hommes, il les remercie sans regret, trop heureux de reprendre les travailleurs qualifiés. Et le provincial à qui l'on a fait quitter sa ville, au moyen de promesses mensongères, se trouve sans ressources, sur le pavé de Paris, réduit à quémander un secours à la Bourse du Travail ! Le fait s'est produit dans le terrassement, la charpente. L'usage est constant. Les jaunes sont toujours des dupes! II n'y a pas deux intérêts ouvriers.<br />
L.-M. Bonneff<br /></p></blockquote>
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(1) La situation n'est pas la même lorsque tous les ouvriers de la corporation participent au mouvement. L'échec qu'elle peut subir n'est qu'apparent: l'union de tous les professionnels les exemples abondent rend prochaine la victoire !
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<em>Les Hommes du jour</em>, 22 juillet 1911<br />
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<strong>Léon Bonneff</strong> <em>Aubervilliers</em>. - L'Arbre vengeur, 344 pages, 9,50 €<br />
<br /><img src="http://www.alamblog.com/public/AubervilliersBobonneff.jpg" alt="AubervilliersBobonneff.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="AubervilliersBobonneff.jpg, fév. 2021" /><br /></p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2015/02/01/Le-rouge-et-le-jaune-par-Leon-Maurice-Bonneff#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/221Le jaune est misurn:md5:c93d988d87b8ca9d28620973495716d72018-12-11T00:42:00+01:002018-12-11T14:06:38+01:00Le Préfet maritimeJauneJaune orangéPrésident de la RépubliqueViolence politique <p><img src="http://www.alamblog.com/public/.lejauneestmis_m.jpg" alt="lejauneestmis.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="lejauneestmis.jpg, déc. 2018" /><br />
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Curieux comme le jaune orangé des couvertures utilisé par la maison Buchet-Chastel dans les années 1960 peut suggérer quelque problématique contemporaine.<br />
Ce document est la quatrième de couverture du roman <em>L'Exécution</em> d'Hubert Gonnet paru en août 1967... donc quelques mois avant certain échauffement estudiantin plus ou moins populaire à base de pavés.<br />
L'Histoire littéraire est TOUJOURS pleine d'enseignements.<br />
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<strong>Hubert Gonnet</strong> <em>L'Exécution</em>. - Paris, Buchet-Chastel, 1967.
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Notons pour les amateurs que Gonnet publia chez Losfeld un roman dédié à Isidore Ducasse.<br /></p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2018/12/11/Le-jaune-est-mis#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/3731Jour Jauneurn:md5:7791f81e25751c1b6a7be7e2fdaa54922018-05-27T06:37:00+02:002018-05-27T17:33:06+02:00Le Préfet maritimeLes Vrais Coupe-FaimAugusto Roa BastosCouvertureDerek MarloweDino BuzzatiGuyla KrudyJaunePitigrilliSilvio D ArzoTizinao TerzaniTristan BernardUmberto Eco <p><img src="http://www.alamblog.com/public/.JourJauneOK_m.jpg" alt="JourJauneOK.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="JourJauneOK.jpg, mai 2018" /><br />
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La concomitance de la parution de couvertures d’un jaune parfaitement effronté nous offre de procéder à une nouvelle page colorée. Et canaille.<br /></p>
<p>On y découvre le nouvel ouvrage du fameux <strong>Sylvain-Christian David</strong>, tombé amoureux d’une muse évanescente d’autrefois, <strong>Tristan Bernard</strong> qui balance fort en riant net de la balle de son sur quelques faces de ses environs, <strong>Krudy</strong> qui voyage en train auprès d’un bavard à ressort épique, et <strong>Pitigrilli</strong>, que nous présente d’outre-tombe <strong>Umberto Eco</strong>, dans les exercices de la décadence.<br />
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Un hommage tout particulier à Augusto Roa Bastos dont le roman célèbre — mais non disponible, avis aux éditeurs — était imprimé le 17 mai 1968. Il paraît qu’on fit pour l’occasion quelques mouvements.<br />
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Le jaune se rit des orages, c’est parfait pour la saison.<br />
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<strong>Sylvain-Christian David</strong> <em>Fanny. Histoire de Fanny Zessinger, qui disparut</em>. — Editions du Sandre, 336 pages, 22 €<br />
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<strong>Tristan Bernard</strong> <em>Le Jeu de Massacre</em>. Illustration de Stéphane Trapier. — L’Arbre vengeur, coll. « L’Exhumérante », 2018, 230 pages, 14 €<br />
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<strong>Guyla Krudy</strong> <em>Le Compagnon de voyage</em>. Traduction et postface de François Gachot. Avant-propos de Sandor Marai. — La Baconnière, coll. Ibolya Virag, 2018, 152 pages, 10 €<br />
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<strong>Pitigrilli</strong> <em>Cocaïne</em>. Traduit de l’Italien par Robert Lattes, postface d’ Umberto Eco. — Séguier, coll. « L’Indéfinie », 2018, 348 pages, 21 €<br />
<br />
<strong>Stephen Steele et Anne-François Bourreau-Steele</strong> <em>Louis de Gonzague Frick dans tous ses états. Poète, soldat, courriériste, ami</em>. — Paris, Classiques Garnier, 2017, 536 pages, 69 €<br />
<br />
<strong>Derek Marlowe</strong> ‘'Mémoire d’un laquais de Vénus''. Traduit par Hortense Chabrier — L’Arbre vengeur, 2017, 254 pages, 17 €<br />
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<strong>Dino Buzzati</strong> ‘’Chroniques terrestres''. Traduit par Delphine Gachet — Denoël, 2014, 447 pages, 22 €<br />
<br />
<strong>Tizinao Terzani</strong> ‘’Un devin m’a dit. Voyages en Asie''. Traduit par Isavel Violante, avec le concours de Ioana Herman — Intervales, 2010, 480 pages, 24 €<br />
<br />
<strong>Silvio D'Arzo</strong> ‘’A l’enseigne du Bon Coursier''. Traduit par Bernard Simeone — Verdier, 1998, 125 pages, 12,17 €<br />
<br />
<strong>Augusta Roa Bastos</strong> ‘’Le Feu et la lèpre''. Traduit de l’espagnol (Paraguay) par Jean-Francis Reille — Gallimard, 1968, « La Croix du Sud » (R. Caillois dir.), 315 pages, Epuisé.<br /></p>
<p><br /></p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2018/05/27/Jour-Jaune#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/3544Petite bibliographie lacunaire de la collection "Jaune Soufre"urn:md5:6c510d117a46579ac5dc731a37a36a642017-05-13T00:50:00+02:002017-06-06T06:41:24+02:00Le Préfet maritimeCollectionJauneMaurice ChappazMax FrischPamphletSoufreSuisse <p><img src="http://www.alamblog.com/public/.Chappazmaquereaux_m.jpg" alt="Chappazmaquereaux.jpg" style="display:block; margin:0 auto;" title="Chappazmaquereaux.jpg, mai 2017" />
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Provoquée par la réédition à l'enseigne des éditions Héros-Limite du <em>Livret de service</em> de Max Frisch (1), la curiosité nous a poussé à jeter un oeil à la collection "Jaune Soufre" créée en 1976 par l'éditrice suisse Bertil Galland)<br /></p>
<blockquote><p>La collectionne Jaune soufre<br />
a institué en Suisse<br />
une tribune libre de langue française<br />
où sont débattues<br />
les affaires du temps.<br /></p></blockquote>
<p>C'est-à-dire qu'il y fut question d'y pamphléter tranquillement.<br />
La maquette de couverture était due à Etienne Delessert.<br />
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<strong>Catalogue de la collection</strong><br />
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<strong>Jean Dumur</strong> <em>Salut journaliste. Lettre ouverte sur la presse en Suisse romande</em>. — Vevey, B. Galland, 1976, 153 p. Collection jaune soufre (n° 1).<br /></p>
<p><strong>Maurice Chappaz</strong> <em>Les Maquereaux des cimes blanches</em>. — Vevey, B. Galland, 1976, 68 p. Collection jaune soufre (n° 2).<br /></p>
<p><strong>Alain Charpillon</strong> <em>Le Jura irlandisé. Le drame du Jaru méridional.</em> Traduction allemande par D. Balmer. — Vevey, B. Galland, collection Jaune Soufre (n° 3).<br /></p>
<p><strong>Jean-Pierre Vouga</strong> <em>De la fosse aux ours à la fosse aux lions</em>. — Vevey, B. Galland, 1976, 110 p. Collection jaune soufre (n° 4).<br /></p>
<p><strong>Max Frisch</strong> <em>Livret de service</em>, trad. de l'allemand par Alexandre Voisard. — Vevey, B. Galland, 1977, 115 p. Collection jaune soufre (n° 5). <br /></p>
<p><strong>Charles Bourgeois</strong> <em>Maman, qu'est-ce qu'il a l e monsieur ? Un invalide rompt le silence</em>. — Collection jaune soufre (n° 6).<br /></p>
<p><strong>Yves Velan</strong> <em>Contre-pouvoir. Lettre au groupe d'Olten</em>. — Vevey, B. Galland, 1978, 52 p. Collection jaune soufre (n°7).<br />
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<strong>Max Frisch</strong> <em>Livret de service</em>, trad. de l'allemand par Alexandre Voisard. — Héros-Limite, 2013, 128 pages, 10 €</p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2016/12/07/Petite-bibliographie-lacunaire-de-la-collection-Jaune-Soufre#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/3143