L'Alamblog - Mot-clé - Marseille2024-03-28T16:56:26+01:00Le Préfet maritimeurn:md5:891a4437ffb56035bcdd99ce6fc8c9f0DotclearLire en vacances (VI) : Lire à Marseille (chez Lily Pastré)urn:md5:1a46df19937913e315c380e4a82b67032014-08-10T06:47:00+02:002014-08-10T06:47:00+02:00Le Préfet maritimeDernier reçu Premier serviAndré MassonEidth PiafLaure KressmannLily PastréLuc DietrichMarseilleVarian Fry <p><img src="http://www.alamblog.com/public/lilypastre.jpg" alt="lilypastre.jpg" style="display:block; margin:0 auto;" title="lilypastre.jpg, nov. 2013" />
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Une très appréciable biographie de <em>Lily Pastré, la Bonne-Mère des artistes</em> par <strong>Laure Kressmann</strong> a paru aux éditions Gaussen.<br />
Mécène marseillaise des années de guerre, la comtesse <strong>Lily Pastré</strong> (1891-1974) a constitué un pan important de l'histoire des arts et des idées du début de l'Occupation en accueillant ce que Paris ne comptait plus de talents et de cerveaux. Ceux qui s'intéressent à Luc Dietrich en savent quelque chose.<br />
Excentrique et riche, romanesque et généreuse, elle s'engagea dans une résistance à la forme personnelle avec l'association de soutien aux artistes "Pour que vive l'esprit" (1940), transformant sa propriété de Montredon en refuge pour travailleurs intellectuels dans le besoin ou en danger. Adhérente du Comité de secours américaine de Varian Fry, la liste est longue de ses bénéficiaires : Piaf, André Masson, Lanza del Vasto, Christian Bérard, Clara Haskil, Youra Guller, Jacques Ibert, Pablo Casals, Manuel Rosenthal, Félix Raugel ou Darius Milhaud ont trouvé chez elle le gîte et le couvert.<br />
Plus tard, en 1948, aux côtés de Gabriel Dussurget, elle soutient la création du festival d’art lyrique d’Aix-en-Provence<br />
Le travail très agréablement lisible de la journaliste Laure Kressmann est basé sur une documentation très riche, ce qui rend plus passionnante encore l'existence de cette mécène du Sud.<br />
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<strong>Laure Kressmann</strong> <em>Lily Pastré, la Bonne-Mère des artistes</em>. - Marseille, Gaussen, 2014, 224 pages + 16 pages ht, 20 €<br /></p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2013/11/23/Lily-Pastr%C3%A9-biographi%C3%A9e#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/2288Alain Paire communiqueurn:md5:6c18c1d40dbeb6a4e0c897102bee71652014-04-07T00:24:00+02:002014-04-07T09:36:03+02:00Le Préfet maritimeLe Petit porte-voix des gens du métierAlain PaireMarseilleSimne WeilWalter Benjamin <p><img src="http://www.alamblog.com/public/.Rmason_m.jpg" alt="Rmason.png" style="display:block; margin:0 auto;" title="Rmason.png, avr. 2014" />
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<br />La <strong><a href="http://www.galerie-alain-paire.com/index.php?option=com_content&view=article&id=304:radio-zibeline-une-chronique-hebdomadaire-qles-vivants-et-les-mortsq&catid=7:choses-lues-choses-vues&Itemid=6">Galerie Alain Paire</a></strong> nous fait part de son actualité plutôt profuse, entre un article d'Alain Madeleine-Perdrillat, "Un juste hommage à Raymond Mason", un autre à propos de Gilbert Pastor ou sur une exposition et un livre pour Sylvain Gérard.<br />
Par ailleurs, Alain Paire s'associe à Marc Voiry pour développer le Web-Radio Zibeline, où s'entendent déjà une rencontre avec l'historien Carlo Ginzburg, une chronique à propos d'Hannah Arendt et Walter Benjamin à Marseille (1), sur ce lien et encore une évocation de Simone Weil aux Cahiers du Sud, l'écart et la présence, sur ce lien.<br />
C'est ce qu'on appelle tenir le rythme ! Bravo !<br />
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Bientôt ici même un billet sur la comtesse Pastré.
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(1) Le site Mativi-Marseille donnera prochainement un web-document à propos de Walter Benjamin à Marseille, entre autres au Passage de Lorette.<br />
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<br />Illustration du billet : Raymond Mason, <em><a href="http://www.galerie-alain-paire.com/index.php?option=com_content&view=article&id=316:un-juste-hommage-a-raymond-mason&catid=7:choses-lues-choses-vues&Itemid=6">Le Tramway de Barcelone</a></em>, 1953 (collection particulière). Image empruntée à la Galerie Alain Paire.</p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2014/04/07/Alain-Paire-communique#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/2382La Marseillaise du pêcheur (1906)urn:md5:254d9761f650372070d51f40131de3a72012-05-04T00:39:00+02:002012-05-04T08:27:17+02:00Le Préfet maritimeApostilleLouis Lemercier de NeuvilleMarseillePêcheSardine <p><img src="http://www.alamblog.com/public/.SardinedeMarseille_m.jpg" alt="SardinedeMarseille.jpg" style="display:block; margin:0 auto;" title="SardinedeMarseille.jpg, mai 2012" />
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<p>En attendant de parler de Marseille, cité de la Vénus perdue et de Joseph Méry, voici une rareté...<br />
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<strong>La Marseillaise du pêcheur</strong><br />
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<strong>I</strong><br />
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Allons, amis de la friture,<br />
Le jour de pêche est arrivé,<br />
Car c'est aujourd'hui l'ouverture,<br />
L'interdit vient d'être levé, (bis)<br />
Dispersons-nous sur ces rivages<br />
Et choisissons habilement<br />
Les places où, dans un moment,<br />
Nous ferons de nombreux ravages.<br />
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Aux lignes ! Bons pêcheurs ! Amorçons ! Amorçons !<br />
Il faut (bis) rapidement rafler tous les poissons !<br />
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<strong>II</strong><br />
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Que veulent tous ces imbéciles<br />
Qui nous regardent ébahis ?<br />
Qu'ils nous laissent un peu tranquilles<br />
Ou qu'ils rentrent dans leur logis, (bis).<br />
Nous n'aimons pas la galerie<br />
Qui souvent jette des cailloux<br />
Afin de déranger nos coups<br />
Par façon de plaisanterie !<br />
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Aux lignes ! Bons pêcheurs ! Amorçons ! Amorçons !<br />
Il faut (bis) rapidement rafler tous les poissons !<br />
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<strong>III</strong><br />
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Le feu sacré qui nous dévore<br />
A pris notre cœur pour foyer;<br />
Nous pécherons de puis l'aurore<br />
Jusqu'au soir, sans nous ennuyer, (bis)<br />
Installés au fond de nos barques<br />
Nous y prendrons notre repas,<br />
Du pain, du vin, un cervelas,<br />
Bien plus heureux que des monarques !<br />
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Aux lignes! Bons pêcheurs ! Amorçons ! Amorçons !<br />
Il faut (bis) rapidement rafler tous les poissons I<br />
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<strong>IV</strong><br />
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Là, n'ayant plus la gorge sèche,<br />
En fumant notre calumet,<br />
Nous ferons une belle pêche<br />
Si toutefois Dieu le permet ! (bis)<br />
Et si nous n'avons pas de chance,<br />
Eh bien, nous nous consolerons<br />
En songeant que nous reviendrons<br />
Le lendemain, pleins d'espérance !<br />
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Aux lignes ! Bons pêcheurs ! Amorçons ! Amorçons !<br />
Il faut (bis) rapidement rafler tous les poissons !<br />
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<br />
<strong>V</strong><br />
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Heures de pêche, heures bénies<br />
Où, loin de la Société,<br />
Nous oublions les calomnies<br />
Et bravons la méchanceté ! (bis)<br />
Sur l'eau, notre pensée unique<br />
Est de rendre un poisson captif;<br />
Cela vaut mieux que d'être oisif<br />
Et que de parler politique !<br />
<br />
Aux lignes ! Bons pêcheurs ! Amorçons ! Amorçons !<br />
Il faut (bis) rapidement rafler tous les poissons !<br />
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<strong>VI</strong><br />
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Le pêcheur est bon, serviable ;<br />
Il vit et meurt sans passions ;<br />
Son seul défaut, bien excusable,<br />
Est d'aimer les émotions. (bis)<br />
Les seules qu'il affectionne,<br />
Qui lui font braver le danger,<br />
Surtout s'il ne sait pas nager !<br />
C'est la pêche qui les lui donne !<br />
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Aux lignes ! Bons pêcheurs ! Amorçons ! Amorçons !<br />
Il faut (bis) rapidement rafler tous les poissons !<br />
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<strong>Louis Lemercier de Neuville</strong> <em>Vers de vase, amorces poétiques offertes aux pêcheurs malheureux, par Lemercier de Neuville, pauvre pêcheur maintenant et jusqu'à l'heure de sa mort, amen !</em> - Paris, Bornemann, 1906.</p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2012/03/08/La-Marseillaise-du-p%C3%AAcheur-%28Lemercier-de-Neuville%29#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/1845Michel Savon (de Marseille)urn:md5:aa005912b5ef7d8825dbc3a8a799a4612011-03-30T11:05:00+02:002011-03-31T15:00:26+02:00Le Préfet maritimeAd Usum BibliofilousHorace BertinLe Sémaphore de MarseilleMarseilleMichel SavonPamphlet <p><img src="http://www.alamblog.com/public/savontete.jpg" alt="savontete.jpg" style="display:block; margin:0 auto;" /><br />
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Né en plein Marseille, capitale du soleil, le 19 avril 1856, il a l'enthousiasme et la sincérité qui façonnent les poètes aux moules primitifs de la beauté. Sorti de l'école primaire des frères, à l'âge de seize ans, n'a fait que des études très simples et n'a pu se nourrir sur la littérature antique, ce qui lui manquera toujours..Talent tout d'inspiration, de nature et d'instinct, sa guirlande poétique est curieuse, étant un mélange perpétuel et antithétique de rêves et de cauchemars, de réalité passant au trivial, d'élégance confinant, au fantastique, épines faisant pendant à des roses, fantômes escortant des génies.<br /></p>
<p>Fit ses débuts à <em>la Vedette</em>, où il publia en détail <em>les Indignations</em>, qui eurent en volume un très vif succès. Michel Savon était descendu du Parnasse, avec un relief étonnant pour flageller les travers de ses contemporains, et, soudainement pamphlétaire anacréontique, il charma ses lecteurs, qui s'abandonnèrent à la suite de ses héros ou de ses rêves. Vacquerie a dit des <em>Indignations</em> dans <em>le Rappel</em> : ''Oui, c'est bien une œuvre de combat, amère, injuste, violente, incapable, mais il y a là en germe, j'en conviens, un talent de poète incontestable et qu'on peut saluer en passant ». Michel Savon a regretté depuis les violences de sa plume et voilà longtemps déjà que pour lui la politique est morte.<br /></p>
<p>A appartenu de 1883 à 1885 à la <em>Gazelle du Midi</em>, où il rédigeait la locale et publiait des poésies à l'emporte-pièce sous le titre <em>Escarmouches</em>. Ces vers sont aujourd'hui absolument oubliés et par l'auteur et par le public. A sa sortie de <em>la Gazette</em>, collabore au Soleil du Midi, où il donne ses chroniques du lundi. Entre temps, publie dans <em>le Bavard</em> la « Chanson des bébés » et le « Livre des Aimées ». Le premier de ses recueils a largement contribué à sa réputation. Toutes ces fantaisies, revues et expurgées, formeront le texte d'un volume de luxe en préparation : <em>La Muse à genoux</em>. Fera paraître chez Dentu, dans le courant de l'année prochaine, son premier roman <em>Mureille Cladol</em>, roman dont l'exécution est sereine et les tons fins, diamantés, argentés.<br /></p>
<p>Michel Savon n'a jamais écrit de pièces de théâtres, mais a fait applaudir aux Variétés un Prologue d'ouverture ; au Gymnase, deux morceaux d'à-propos : <em>A Victor Hugo !</em> <em>A Carré !</em> ; Au Palais de Cristal : ''A Rouffe !'<br /></p>
<p>Son nom est intimement lié depuis dix à douze ans au mouvement littéraire marseillais. Il a été l'un des fondateurs du Portique et l'un de ses présidents. Fut, lors de sa fondation, secrétaire particulier du Syndicat de la presse marseillaise:<br /></p>
<p>Horace Bertin a dit de lui dans <em>Bustes et Masques</em> : « C'est un confrère d'une tolérance rare en matière d'opinions. Instinctivement bon et serviable, Michel Savon, au plus fort de la lutte, a su respecter toujours les personnalités. »<br /></p>
<p>Michel Savon est au demeurant un confrère loyal, droit, sympathique et qui n'a que des amis. Son prochain livre <em>Au Pays du Rêve</em>, est impatiemment attendu par tous.<br />
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<strong>Etienne Bellot</strong> (1865-1910?) <em>Nos écrivains marseillais</em>. - Marseille, Barthelet, 1896, pp. 144-146.<br /></p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2011/03/30/Michel-Savon-%28de-Marseille%29#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/1563Albert Cohen le Roi mystèreurn:md5:f6506c18383ef89e8caa610dc49aec7e2009-11-05T05:57:00+01:002009-11-05T10:26:59+01:00Le Préfet maritimeDernier reçu Premier serviAlbert CohenMarcel PagnolMarseilleRussie <p><img src="http://www.alamblog.com/public/.CohenMystere_m.jpg" alt="CohenMystere.jpg" title="CohenMystere.jpg, nov. 2009" /><br />
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Avant tout autre opus, cet automne, vous auriez grand tort de ne pas lire <em>Le Roi mystère</em>, l’un des plus beaux livres d’entretien que l’on connaisse.<br />Il est arrivé sur notre île un beau matin, comme le soleil se levait à l’horizon et il a illuminé notre journée. Et sans doute plus encore, puisqu’on y songe.<br />
Tiré d’une émission de radio à laquelle Albert Cohen était invité en 1976, il vaut toutes les analyses de l’oeuvre et toutes les biographies. Point de longs discours (137 pages seulement), il éclaire autant la figure de Cohen qu’il réjouit son lecteur - n’est-ce pas merveille ? - avec ses pages délectables, truffées de formules formidables, comme ces sourires en forme de “messages dentaires”…<br />
Ce livre qui fait du bien, Albert Cohen s’y raconte, ses rapports d’enfant avec Marcel Pagnol - dont il connaît, stupeur, tous les poèmes de jeunesse par coeur ! -, ses livres rêvés plutôt que construits, l’indispensable épaisseur humaine des personnages, les romans secs d’intellectuels, la bonté, la loi et l’amour, le camelot antisémite qui est peut-être à l’origine de sa création, la mystérieuse cantatrice marseillaise qui lui valut de la part de ses condisciples le sobriquet de “Roi Mystère”, son action auprès des Nations Unies et même son faible pour les femmes “à dents”…<br /></p>
<blockquote><p>En réalité, ce dont je suis beaucoup plus fier que de mes livres, c’est d’être l’auteur de l’accord international du 15 octobre 1946 sur la protection des réfugiés. Ca , c’est mon affaire. Le reste, ce sont des rêves. Des rêves. Et je ne sais pas expliquer. Surtout, qu’on n’attende pas de moi des commentaires sur ce que je fais. Je n’en sais rien.</p></blockquote>
<p>Ce livre — on bénit son éditeur — nous donne envie de nous plonger dans les <em>Mangeclous</em> derechef. Et c’est ce que l’on va faire.<br />
Après tout, on n’est pas aux pièces, et l’on y reviendra peut-être sous forme de citations.<br />
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Jacques Le Scanff et Les éditions <strong><a href="http://www.preaudescollines.fr/">Le Préau des Collines</a></strong> vous invitent à fêter la parution du <em>Roi mystère</em> le 24 novembre prochain (154, rue Oberkampf, Paris 11e, de 19 à 21 heures)<br />
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<strong>Albert Cohen</strong> <em>Le Roi mystère. Rencontre entre Albert Cohen, François Estèbe et Jean Couturier, France Culture, janvier 1976</em>. - Paris, Le Préau des collines/Ina, 2009, 137 pages, 15 euros<br />
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Pour mémoire : <strong>Albert Cohen</strong> <em>Salut à la Russie</em>. - Paris, Le Préau des collines, 80 pages, 12 euros</p>http://www.alamblog.com/index.php?post/2009/11/05/Albert-Cohen-et-le-Roi-myst%C3%A8re#comment-formhttp://www.alamblog.com/index.php?feed/atom/comments/1187