L'Alamblog - Mot-clé - Olimpia Maidalchini - Commentaires2024-03-28T12:57:47+01:00Le Préfet maritimeurn:md5:891a4437ffb56035bcdd99ce6fc8c9f0DotclearDiatribe italienne (Céline Minard) - Le Préfet maritimeurn:md5:6e8f4d1bd25a550c1eb5cfab8390b3442010-01-30T07:13:07+01:002010-01-30T07:49:19+01:00Le Préfet maritime<p>Je comprends mieux. Derrière le “tu woua”, il y a le “travail de destruction de la langue”, une porte ouverte de l’époque, rien de plus. Tout le “confort intellectuel” décrit quelque part. Une irritation de lecteur de blog et de magazines de littérature. Il ne faut pas chercher midi à quatorze heures.<br />
Mais il est poilant que les lecteurs de Céline Minard s’empaillent ! Preuve que sa littérature n’est pas comme les autres. Et loin devant, ou loin ailleurs, comme vous préférez, je maintiens.</p>
<p>le Préfet maritime</p>
<p>PS : j’ai bien noté : “méprisable”. Et puis je n’ai pas trouvé un mot sur les livres que je publie. Mais j’ai sans doute cherché trop vite (un peu pressé ce matin, il faut relever les filets).</p>Diatribe italienne (Céline Minard) - Bustosurn:md5:32eb485f375e3daded1aa2bcf47cfb212010-01-29T22:16:50+01:002010-01-30T07:02:41+01:00Bustos<p>Je me permet d’intervenir à mon tour, bien que j’y répugne, puisqu’il s’agit de mes commentaires dont il est question ici.<br />
Moi non plus je ne retire rien de ce que j’ai écris. J’aime les livre de Céline Minard, et selon mon goût je trouve Olimpia plus réussi que Bastard Battle…question de sensibilité. Cela me désole d’en arriver à de telles extrémités verbale au sujet d’une romancière que nous aimons tous deux.<br />
Contrairement à ce que vous semblez penser ce n’est pas une opinion à l’emporte pièce, je suis libraire et j’ai la chance de pouvoir parler de littérature et de confronter mes avis avec ceux de mes lecteurs à longueur de journée….<br />
Pour en revenir au débat, ce n’est pas votre désaccord qui me vexe, c’est la véhémence avec laquelle vous l’exprimez. Nous en resterons là.<br />
Toutefois, je vous retourne l’accusation de légèreté quant à la catégorisation que que vous faites des lecteurs. Vous avez fait gagné à Céline Minard trois lecteurs “France loisir” je ne peux que trouver cela formidable et pourtant un peu méprisable. En tant que libraire, mon souci quotidien se porte sur mes lecteurs, je passe mes journées à vendre des livres, des lectures que j’aime et que je souhaite faire partager, y compris certaines réputés invendables, y compris celles que vous publiez parfois. C’est aussi ce que je pense proposer sur mon blog.<br />
Tout ceci posé je retire ma proposition de dialogue, je ne saurais donc jamais ce qui se cache derrière l’expression “la littérature tu woua”, de même vous ne saurez pas quel type de lecteur et de prescripteur je suis.<br />
Nicolas Vives</p>Diatribe italienne (Céline Minard) - PhAurn:md5:4b2acc6a3a25206f54f67259134ed9b12010-01-29T18:18:43+01:002010-01-30T07:02:41+01:00PhA<p>J’ai trouvé Bastard Battle formidable, et je me réjouis de lire bientôt Olimpia. Mais je ne comprends pas bien “pousse son avantage”, “loin devant”, “prétendre occulter”… Y aurait-il donc une course organisée ? Je vois mal un auteur au talent aussi singulier y participer.</p>Diatribe italienne (Céline Minard) - JPMurn:md5:e81622661cabcca626f795ffdd2a63282010-01-29T14:17:27+01:002010-01-30T07:04:36+01:00JPM<p>Cadiot ? Novarina ? AH AH AH</p>Diatribe italienne (Céline Minard) - Le Préfet maritimeurn:md5:b03a0fbf01d64cb4f8cbf00a111a0c802010-01-29T14:16:23+01:002010-01-29T14:26:33+01:00Le Préfet maritime<p>Ah, il vous faut des noms ! C’est pas joli, joli. D’ailleurs, je ne tomberai pas dans ce jeu idiot. Peu importent les noms, ce que je souligne c’est la manière dont certains émettent des jugements brutaux avec légèreté dès lors qu’ils glissaillent en solitaire sur le Filet à grosses mailles. Devant son clavier, il est loisible aussi de réfléchir à ce que l’on écrit. Que ne commentez-vous pas aussi ces jugements infondés ! Pour ma part, je ne retire rien de ce que j’ai écrit ici.</p>
En substance, j’y reviens - et brutalement, tant qu’à faire - : Je maintiens que Céline Minard a réussi Bastard Battle au-delà de toute espérance et d’une manière qui démontre qu’elle n’a aucun concurrent dans le domaine de la fiction française contemporaine (catégorie “on y va”). Trois lecteurs de la maison “France Loisirs” (amateurs de Signol et Cie…) à qui j’ai mis le livre entre les mains ont accroché. Cela vaut, à mes yeux, tous les avis chichiteux du net littéraire.
<p>Vous voulez leur nom aussi ? (méfiez-vous ça va devenir une habitude.)</p>Diatribe italienne (Céline Minard) - Bartlebyurn:md5:8bf8616fdb7df21a8d31f13d0e13acc12010-01-29T10:20:05+01:002010-01-29T14:09:50+01:00Bartleby<p>Excusez-moi aussi d’intervenir, mais j’ai du mal à comprendre où vous voulez en venir avec ce genre d’allusion. On peut être en désaccord sur un livre tout en reconnaissant les qualités de ceux avec lesquels nous ne sommes pas d’accord, non ? Pourquoi ne pas avoir ouvert une discussion ? Les attaques de ce genre me semblent assez stériles…</p>Diatribe italienne (Céline Minard) - Fauvelurn:md5:44eb8054eb4f6fe2cce716aeeefbde102010-01-28T22:21:57+01:002010-01-29T14:09:50+01:00Fauvel<p>Savitzkaya, Chevillard, Cadiot, Novarina…</p>Diatribe italienne (Céline Minard) - Antonio Werliurn:md5:87b3124ed5b74c7e8c2be9fd66b13b1c2010-01-27T21:09:51+01:002010-01-27T23:15:47+01:00Antonio Werli<p>Ché pas, ç’eut été cocasse de nommer votre adversaire, par exemple.<br />
On aurait eu des histoires à raconter à nos ptits enfants…</p>
<p>Mais enfin, je me mêle de ce qui ne me regarde pas. Certainement.</p>
<p>Au plaisir & au revoir.</p>Diatribe italienne (Céline Minard) - Le Préfet maritimeurn:md5:3316e345f31f301ff83aa4586ce0c0382010-01-27T20:56:32+01:002010-01-27T20:56:40+01:00Le Préfet maritime<p>Fair-play ? hum… Pour quoi faire ?</p>Diatribe italienne (Céline Minard) - Antonio Werliurn:md5:e64e82d60758ce72cc254b3c81eff7212010-01-27T20:38:34+01:002010-01-27T20:54:51+01:00Antonio Werli<p>Jean-Marc Lovay ?? Jean-Luc Raharimanana ???!!!</p>
<p>Vous paraissez un peu allusif, expéditif et pas très fait-play, si j’ose dire, cher Préfet.</p>