L'Alamblog - Mot-clé - Théo Varlet - Commentaires2024-03-29T01:51:09+01:00Le Préfet maritimeurn:md5:891a4437ffb56035bcdd99ce6fc8c9f0DotclearLe Roc d'or de Théo Varlet bientôt en librairie ! - Bruno Duvalurn:md5:4d09cbf8d92424105de1e443809fdef02014-03-12T12:19:59+01:002014-03-12T15:09:07+01:00Bruno Duval<p>Pas mal, le Roc d'or, chez l'éditeur, entre autres, de Maurice Fourré,<br />
mais, de Théo, faudrait pas oublier LA GRANDE PANNE, de 1930, d'une actualité brûlante avec l'invasion du lichen dans le métro!<br />
Cela dit, dans ses trades comme dans ses romans, Théo n'est pas un styliste hors pairs, oscillant entre une certaine sapience et le tout à l'égout!<br />
B.</p>Les orgies de James S. Lee - biennurn:md5:89f433734eff1f6f41db76e071cd59df2013-01-11T15:38:30+01:002013-01-12T07:52:59+01:00bienn<p>sOUpeerr vraimen bienn!!!</p>La littérature est mauvaise fille (Joyeux Noël aussi !) - clovis simardurn:md5:ff24335829cf8df183246b59a6f9ac892010-11-14T14:31:43+01:002010-11-14T21:15:45+01:00clovis simard<p>Bonjour,</p>
<p>Joyeux Noël !</p>
<p>L'Existence du Père Noël réconcilie DURÉE et SIMULTANÉITÉ de la Physique Quantique.</p>
<p>Voir la page l'Énigme du Père Noël sur mon Blog (fermaton.over-blog.com)</p>
<p>Cordialement</p>
<p>Clovis Simard</p>Le Démon dans l'âme, de Théo Varlet (Renée Dunan, 1923) - Dieuurn:md5:0cc2e8bbc903546ab109170efe48896c2010-01-12T21:37:39+01:002010-01-13T08:58:46+01:00Dieu<p>Putaiiiiin c’est trop naze comme truc! na.</p>Les orgies de James S. Lee - Léon COBRAurn:md5:354d7f92430a48cf96a446508c89cb612009-10-07T14:26:40+02:002009-10-07T16:03:09+02:00Léon COBRA<p>en transit…</p>
<p>J’ai glissé un @lien vers l’Alamblog dans ma rubrique: Bd, poésies,peintures,photos….</p>
<p>Amitiés bleues-pâles</p>
<p>le NaJa</p>Marcel Millet préface Invectives (1924) - michelurn:md5:c520bd67a36b142b4812b28944999d842009-09-28T17:10:46+02:002009-09-28T16:32:11+02:00michel<p>Je possède une carte postale de Charles Rochat à Lucien Jacques (1924). Quels ont été leurs rapports?</p>Lectures d'été : Jerome K. Jerome - Dr Nourn:md5:160e97422eaced3cde119669f5816ac52009-08-03T10:08:17+02:002009-08-05T09:57:39+02:00Dr No<p>Ah ! la révision éditoriale… une institution, pas vrai ? En tout cas, voilà de quoi nous intéresser. Les exemples foisonnent. Faites-nous-en le feuilleton de l’été, sacré préfet.</p>Théo Varlet et le Hachich (André Billy) - ricocheurn:md5:4e1bfdd87b1bae6aa5727d6cc30aa0ef2009-06-05T22:03:55+02:002009-06-06T08:59:08+02:00ricoche<p>quelqu’un a des feuilles?</p>Une baleine au Contadour, par Gérard Allibert (à propos de Moby Dick, Lucien Jacques, Jean Giono et Théo Varlet) - Granger Michelurn:md5:0596dfa16104b74307234dd9f3b307ea2008-09-19T10:43:40+02:002008-09-22T07:32:13+02:00Granger Michel<p>Bonjour,<br />
Auriez-vous l'obligeance de répondre à la question suivante :<br />
Le texte résumé de Moby Dick par ED Forgues, publié dans "La Revue des deux mondes" de 1853, figure-t-il dans l'ouvrage "Gens de Bohême et têtes fêles" (1862) publié sous son pseudonyme de Old Nick ?<br />
Merci de l'attention que vous voudrez bien porter à ce message.<br />
Bien cordialement,</p>
<p>Michel Granger</p>Une baleine au Contadour, par Gérard Allibert (à propos de Moby Dick, Lucien Jacques, Jean Giono et Théo Varlet) - Philippe Sabarthés Gap 05000urn:md5:3efd76e93dea83a1d5fd1c55109bfc632008-07-04T10:04:22+02:002008-07-05T12:56:02+02:00Philippe Sabarthés Gap 05000<p>Je posséde le Moby Dick relié cuir en bon état des Cahiers du Contadour sans date exemplaire No 26.Pouvez me donner sa valeur Svp.Merci par avance.Philippe.</p>Une baleine au Contadour, par Gérard Allibert (à propos de Moby Dick, Lucien Jacques, Jean Giono et Théo Varlet) - michel BERNARDurn:md5:7a446c75d2faefb118f3d995c19a1eab2008-05-17T21:09:20+02:002008-05-19T08:49:51+02:00michel BERNARD<p>SVP:dans quel ouvrage Jean Giono écrit-il,à propos du Luberon:"la grande baleine bleue" ?</p>
<p>Merci de me répondre</p>
<p>Michel BERNARD<br />Ménerbes,Vaucluse</p>Une nuit à l'Hôtel de la Baleine (Varlet traducteur de Melville) - FRANCISCO HERMOSINurn:md5:405765c8fccda1d6ad455876e05f2f0d2007-03-21T02:02:41+00:002007-03-21T09:39:52+00:00FRANCISCO HERMOSIN<p>C’est grâce à M. Bruno Leclercq que j’ai connu l’existence de ce blog malgré le fait que j’avais déjà visité la page web de lekti-écriture lors de l’achat, peu après sa parution, de votre livre «La littérature est mauvaise fille».<br />
<br />
Théo Varlet, dont j’explore l’œuvre depuis juin 2003, s’est révélé à moi de façon toute à fait fortuite le jour ou un exemplaire de son livre «La bella venere» est tombé entre mes mains. Cette rencontre devait s’avérer fatale. Le vaccin cotre la «varletitis aigue» n’étant encore découvert, je ne peux pas m’empêcher de chercher à posséder tout document original ou non, écrit par Varlet ou lui concernant, afin de connaître autant que possible sur l´homme et son œuvre. Ce pour cette raison, M. Dussert, que je suis vos efforts de récupération de la mémoire de ce poète, romancier, critique, traducteur et scientifique encyclopédiste, dont une partie de la critique de l’époque et non peu de ses frères de plume ont tout fait pour reléguer aux oubliettes et même à l’ostracisme. Je vous en remercie.<br />
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Me joignant à la causse, je voudrais apporter ici quelques commentaires et précisions. <br />
<br />
Ainsi, «Les naufragés d’Éros» a finalement apparu en 1943 sous le titre d’«Aurore Lescure, pilote d’astronef», titre que vous indiquez dans la bibliographie de Varlet paraissant à la fin de «La littérature est mauvaise fille». Pourquoi ce changement de dénomination?... <br />
<br />
Concernant «Cléopâtre», ou «La reine Cléopâtre», il a été publié un article de Pierre Renard dans le numéro 40 de la revue Nord’ (décembre 2002) intitulé «Un roman inédit et inachevé de Théo Varlet: La reine Cléopâtre» dans lequel on trouve tout un chapitre de ce roman et une notice indiquant que c’est Pierre Querleu la personne qui lui remis les documents originaux. Si déjà Lagalaure (page 50 de son livre) fait savoir que M. Mac Laren avait bel et bien ramassé les inédits et traductions que Varlet laissa à sa mort, peut-être M. Renard pourrait le confirmer en nous illustrant sur l’origine de ce «dossier» si à son tour M. Querleu le lui a communiqué.<br />
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De mon côté, je peux en partie renforcer la thèse grâce à l’achat à un libraire anglais, en novembre 2003, de quelques éditions originales. Il s’agit de «Ad astra», «Poèmes choisis» et «Poèmes», ce dernier étant le seul livre de poèmes en langue française publié par Malcolm Mac Laren (on y trouve une louangeuse préface de Theo Varlet). Tous les trois, truffés d´originaux manuscrits et tapuscrits, furent obtenus par ledit libraire lors d’une enchère, sans que celui-ci ait consenti à me fournir autre précision que c’était bien la famille Mac Lauren qui s’en départait. Combien d’autres documents ont étés livrés aux assistant ce jour là si tel à été le cas? Je ne sais rien et le libraire s’en est gardé de me le dévoiler. <br />
<br />
Que Malcolm Mac Laren eût à s’occuper de cette tâche est plus que logique si l’on tient compte de l’admiration qu’il vouait à celui qu´il considérait son maître et à qui lui unissait une amitié particulière. Que ce rôle lui revenait est mis en évidence par la dédicace que Jean Baltus, peintre et ami de longue date de Varlet, et à qui Varlet l’avait dédicacé à son tour, écrivit sur mon exemplaire des «Poèmes choisis» : «À l´ami Malcolm Mac Laren, héritier spirituel de Theo Varlet». Elle est signée à Burford, ville de Mac Laren, le 2 juillet 1938, c’est à dire, trois mois avant le décès de leur ami commun. <br />
<br />
Je voudrais finir par quelques commentaires sur «Lunaires». On peut lire quelques uns des poèmes devant faire partie de ce recueille dans l’anthologie de A. M. Gossez intitulée «Poètes du Nord. 1880 – 1902. Morceaux choisis», publiée par la Société d´éditions littéraires et artistiques, à Paris, en 1902. Il s’agit de «Sous mon âme», «Selênê-du-Nord», «Aux claires minuits», «Hyde-Park», «Le moulin», «La cloche», «Syracuse» et «Agrigente». Certains furent donnés par la première foi dans la revue lilloise «Le Beffroi» tout au long de 1900, année de sa création, et dans laquelle Gossez et Varlet étaient d’importants collaborateurs. <br />
<br />
Si l’on prend en considération l´évolution poétique de Varlet, du symbolisme ver la nouvelle poésie qu’il aimait dénommer « cosmique», et le fait qu’au Beffroi il les fit paraître sous pseudonyme de Peter Hamers, il est tout à fait légitime de penser qu’il désista de les publier les considérant peu représentatifs de… son « œuvre qui compte ». À l´appui, cet extrait de l´article que Charles Clarisse publia dans le numéro 7-8 de la revue «Pan» de juillet - août 1909 : « Ses «Heures de rêve» précèdent de plusieurs années son œuvre qui compte. Si je le rappelle ici, c’est pour dire de les oublier à ceux qui n’en connaissent que le titre... Toujours est-il que, lors d’une des mes visites chez Varlet, je le trouvai, attablé devant un verre de schiedam, allumant une pipe de Goudat avec une torche dont quelques pages arrachées à d´anciens exemplaires «d’Heures de rêve» faisaient le frais ». <br />
<br />
Tout un caractère, ce cher Théo. C’est bien cela qui le rend inégalable. <br />
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<br />
</p>Une nuit à l'Hôtel de la Baleine (Varlet traducteur de Melville) - Eric Dusserturn:md5:262266c00e4aa88700450d71fcd41b0c2007-03-02T09:39:30+00:002007-03-05T10:31:33+00:00Eric Dussert<p>Inédits
signalés en effet par Félix Lagalaure dans son opus de 1939, les titres suivants correspondent sans doute aux manuscrits que Malcolm Mac Laren a recueillis à la mort de l’auteur — (Mac Laren ou de Rienzi ?). Son vœu de constituer un petit musée au Mas du Chemineau ne semble pas avoir pris corps. Depuis, les manuscrits n’ont plus fait parler d’eux. Il faut espérer que collectionneurs privés et fonds publics en disposent encore et se manifestent…<p>
Au large (contes)<p>
Avant la nuit barbare (roman)<p>
Cosmica (fusées)<p>
Lunaires (poèmes)<p>
Cléopâtre (roman inachevé)<p>
Christus Vincit (roman)<p>
Sans oublier ses souvenirs inédits transmis à Raymond de Rienzi et jamais retrouvés jusqu'ici. A moins que... Nous tâcherons de donner un jour prochain la bibliographie des traductions de Théo Varlet. Où chacun pourra constater l'étendue de son travail.</p>Une nuit à l'Hôtel de la Baleine (Varlet traducteur de Melville) - Quartier-maître Achaburn:md5:a3e9ef534aef007a2cd05309c9d7d0cf2007-03-02T03:14:18+00:002007-03-02T09:34:20+00:00Quartier-maître Achab<p>Découverte improbable, mais pas imprévisible. <br />
La monographie de Félix Lagalaure sur Théo Varlet (L'Amitié par le livre, 1939) donne une bibliographie de ses traductions. On trouve bien Moby Dick, avec la date 1933. Pas de nom d'éditeur hélas. <br />
Varlet laissa aussi une traduction jamais imprimée d’Emily Brontë : Hauteurs impétueuses.<br />
Les oeuvres inédites de Varlet font rêver bien davantage. Parmi d'autres, Les Naufragés d'Eros, une suite à son anticipation La Grande Panne.<br />
En attendant d'hypothétiques redécouvertes, on peut lire la traduction de Taïpee de Melville par Varlet, en Folio et à la Pléiade. Elle a été apparemment révisée par F. Ledoux à l'occasion d’une réédition de 1952. Gallimard l'avait d’abord publiée en 1926 sous le titre Un Eden Cannibale, dans son éclectique collection des Documents bleus.<br />
S'agit-il du tout premier volume de Melville publié en français? On dirait bien.</p>Une nuit à l'Hôtel de la Baleine (Varlet traducteur de Melville) - Auguste Prévosturn:md5:e2ffd83c09ebf4a93bd48d007aef26642007-03-02T00:23:38+00:002007-03-02T09:33:49+00:00Auguste Prévost<p>De mémoire, la traduction de Moby Dick avait été annoncée en 25 ou 26 mais l'entreprise n'avait pas prospéré et avait rapidement semblé abandonnée. Si cela vous intéresse, je tâcherai de regarder et de vous apporter une éventuelle précision.</p>Une nuit à l'Hôtel de la Baleine (Varlet traducteur de Melville) - Guy Ponsardurn:md5:58b377b98628e961d38b3ff0f48e94662007-03-01T19:59:23+00:002007-03-02T00:14:54+00:00Guy Ponsard<p>Bravo pour cette découverte, mais décidément, rien n'y fait, tous les traducteurs de Moby Dick (y compris parfois le dernier en date, pourtant nettement plus rigoureux de ce point de vue, on y reviendra peut-être) ont des problèmes avec...la mer et ce qui va dessus, ce qui est quand même un comble!<br />
Ici donc, pourquoi remplacer le sloop de Melville (bateau à un seul mât) par une goélette, qui en a elle deux? Pour faire riche? Melville avait de bonnes raisons de parler de sloop, au tout début de l'aventure baleinière.<br />
Plus cocasse, avez-vous déjà essayé de monter vers un port, même à New-Bedford?<br />
J'attends avec un peu d'inquiétude la suite.<br />
Ponsard</p>La littérature est mauvaise fille (Joyeux Noël aussi !) - M. Ch.urn:md5:2a9de9d61ed9102199edc032df7129ea2006-12-21T22:05:47+00:002006-12-21T23:41:32+00:00M. Ch.<p>J'en ai rêvé, j'ai vu, j'ai acheté, j'ai lu, j'ai aimé…<br />
Merci pour le mordant des portaits, le choix des nouvelles, le respect du lecteur, et de nous rappeler à la mémoire de ces grands oubliés.<br />
Marie.<br />
</p>La littérature est mauvaise fille (Joyeux Noël aussi !) - Amer, revue finissanteurn:md5:3ee90a35dfea968f062c8d30bf9f94452006-12-21T16:40:19+00:002006-12-21T17:39:02+00:00Amer, revue finissante<p>Je ne connais pas les bonnes manières sur internet ; peut-être apparaîtrai-je alors malséant en commentant cette enthousiasmante sortie de "la littérature est mauvaise fille" en annonçant celle, plus confidentielle encore, de sa cousine, fleur de pavé, Amer, petite revue finissante qui semble avoir les mêmes goûts littéraires, mais peut-être pas le même arrière goût. C'est que l'amertume se déclare tard, mais reste sur la langue...<br />
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Pour les curieux et les curieuses...<br />
<br />
"Acrimonie, haine, amertume, colère, aigreur, mélancolie, atrabile, fiel...<br />
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Amer est une revue finissante consacrée aux littératures finiséculaires et à ce qui s'y rapporte, de près ou de loin.<br />
Le premier numéro sera disponible dès la fin du mois de décembre. Fin d'année à défaut de fin-de-siècle.<br />
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Au sommaire de ce premier numéro, entretiens avec Claude Izner et Paris Violence, articles d'Alain Buisine (Byzance copronyme), Johan Grzelczyk (Nietzsche et la modernité décadente), Ian Geay (Irrumations fin-de-siècle), nouvelles de Richepin (les soeurs moches), Maupassant (l'enfant), Schwob (les sans-gueule), Louÿs (poésies), Mirbeau (la vache tachetée) et annonces de colloques et sorties de livres.<br />
12x19cm, 152 pages.<br />
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Pour le commander, envoyez 4 euros (gratuit pour les prisonnier-es et les sans-le-sou)à l'adresse suivante Amer, 82 rue Colbert 59000 Lille. Les échanges sont les bienvenus. Chèques à l'ordre des "Ames d'Atala". Pour réserver ou obtenir plus de précisions, notre contact mèl : <a href="mailto:zamdatala@hotmail.com" rel="nofollow">zamdatala@hotmail.com</a>.<br />
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En vie, en guerre.<br />
Mort, en paix"<br />
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Que dire, si ce n'est qu'on se sent moins seul... <br />
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Responsable : i. g.<br />
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Adresse :<br />
82 rue colbert 59000 Lille.<br />
</p>La littérature est mauvaise fille (Joyeux Noël aussi !) - Chantal V.urn:md5:b009e73333bcc97ea0518ba9d8bd2c8c2006-12-21T16:31:10+00:002006-12-21T17:39:20+00:00Chantal V.<p>Bonjour, en fait je tombe par hasard sur votre blog. La couverture de l'ouvrage que vous chroniquez attire mon regard. Je vais lire cet ouvrage. merci.<br />
<br />
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