C'est Claude Anet qui nous occupait

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Allez, nous mentions un peu en avançant lundi que le farniente fut durant dix jours notre activité principale. Si siestes il y eut, c'est à un trio de livres que nous nous consacrions beaucoup, ainsi qu'à certains travaux d'électricité mineurs et de jardinage (à grands coups de cisaille, ça défoule grave).
Le plus volumineux de ces opus, à paraître en octobre prochain chez Phébus - si nous parvenons à produire la préface pour lundi... -, est dû à Claude Anet, vénérable oublié de la grande presse parisienne d'avant-guerre.
Comme beaucoup, il est mort trop tôt, et en 1931 (sale date), pour que son oeuvre suscite de l'intérêt après la Seconde guerre mondiale dont le trauma fut tel qu'on ne pouvait plus, après, s'intéresser vraiment à ce qu'il y avait eu avant. C'est à la fois bien compréhensible et très regrettable. Victor Barrucand, Théo Varlet et de nombreux autres défunts des années 1920-1930 ont subi la même double peine de la mort et de l'enfouissement. A nous de les réveiller.

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