Mes poires, par Marc Stéphane (1904) (un dernier, d'accord ?)

MarcSte_phane.jpg Marc Stéphane pendant la guerre de 1914


Avant d’avoir la joie de vous annoncer une double bonne nouvelle concernant Marc Stéphane, voici une ultime méchanceté - nous pourrions en ajouter encore, et encore - de ce bretteur, ami rebuté de Léon Bloy, précurseur d’un certain LFC dans l’ordre de la langue “nature”.


Paul et Victor Magueritte. — “Monsieur, je suis l’homme qui a effeuillé l’une après l’autre, et sans reprendre haleine, ma parole ! ces marguerittes nationales : le Désastre, les Tronçons du Glaive, les Braves Gens, la Commune… — Et vous vous amusâtes ?
— Ah ! boufre, tu parles ! Un peu, beaucoup, énormément…
— Pas du tout ! Je conçois cela !
O Marguerittes, fleurs ohnètes du document !…



Marc STEPHANE Aphorismes, boutades et cris de révolte. - Paris, Cabinet du Pamphlétaire, 1904, p. 53.

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