Qui est donc ce mystérieux personnage ?
Même règlement que d’habitude : le vainqueur sera le vainqueur, c’est-à-dire le premier à donner la bonne réponse.
L’auteur lui-même et ses familiers ne pourront évidemment pas jouer.
Un ouvrage de la collection L’Alambic gracieusement offert par les éditions L’Arbre vengeur constituera son lot.
Résultats de notre précédent Grand Jeu Concours
Contrairement à ce que racontent Grand Robert et Wikiblabla, c’est bel et bien Louis-Ferdinand Céline qui usa tout d’abord de la formule bla bla bla.
Anne Massoulier s’en doutait qui l’avança la première, et c’est André Derval qui confirma en nous fournissant les références exactes : Bagatelles pour un massacre, Paris, Denoël, 1937, p. 165.
Ils se partageront le lot : un livre de la collection L’Alambic.
Avec ses 1945 pour blabla et 1947 pour blablabla, le Grand Robert est dans les choux.
Quant à la légende de cette invention par le journaliste Paul Gordeaux, né Philippe Gordolon, elle paraît tardive et apparemment de tradition familiale. Une confirmation du peu de sûreté des informations made in Wikikiland qui ne cite pas de source probante.
Reste à trouver la trace d’usages antérieurs de la formule, pour ceux que cela amuse, sous cette forme graphique ou sous une autre. Il ne nous étonnerait guère en effet que de Perfide Albion nous parvint cette formidable formule plus autrefois encore.
Ajout du 4 juin 2009
Suite à un message peu amène, voire insultant, du fils de Paul Gordeaux, qui réclame à hauts cris l’attribution de l’invention du blablabla à son père - ce qui ne nous pose aucun problème particulier en réalité -, nous précisions qu’une preuve datée de ce qu’il avance ferait beaucoup progresser le débat.
Imprimée, elle serait même parfaite. Cette mention dans le Canard Enchaîné, par exemple : à quelle date ?
1 De smacaigne -
C'est Philippe Chevallier guettant anxieusement son compère barbu...
2 De gustave -
Ne s'agirait-il pas de Jean de La Ville de Mirmont ?
3 De leboucher -
Mon beau-frère va être furieux de voir que vous avez mis sa photo sur vot' blog sans lui demander : c'est un crève-cœur pour lui ce rideau baissé qui rappelle un passé enfui. Je me souviens qu'à l'époque tout le monde lui disait qu'il ressemblait à un coureur cycliste, à moins que ça soye à un écrivain, je me rappelle plus. Bon sang comme le temps passe ! Et comme elles étaient belles les cravates !
4 De Dr No -
Page 265 ? Comme vous y allez cher préfet pour un livre qui ne compte que 226 pages ! La citation est en fait page... 165. Une bagatelle en quelque sorte. Enfin, vous nous aurez mis sur la piste.
5 De alexandre -
A tout hasard : Leo Lipski
6 De PAG -
C'est le beau-frère de Jean FOLLAIN le jour où il tira le rideau de son Épicerie d'Enfance, près Saint-Lô.
ps: plutôt qu'un de ces ouvrages tordus de L'ALAMBIC, le Préfet maritime ne pourrait-il pas m'envoyer cinq paquets de Caporal coupe fine à rouler et un litre de gasoil? Merci.
7 De Grabinoulor -
Marc Stephane
8 De OrnithOrynque -
Hector France ?
9 De Andre Derval -
C'est le maire de Paris.
Pour le lot, un grand merci - tres touche - pourrais-je avoir la deuxieme moitie du livre (j'aime bien savoir comment ca finit)
A
(sans accents et sans cedille)
10 De jpg281247 -
Bla-bla-bla ou blabla : Le journaliste Paul Gordeaux inventa ce terme qu'il utilisait fréquemment dans les histoires qu'il racontait à ses amis. Au nombre de ceux-ci Pierre Bénard, directeur du Canard enchaîné, reprit le terme dans ses articles. Le mot plut aux journalistes anglo-saxons qui l'utilisèrent à leur tour. Le Pandit Nehru, l'employa à la Tribune des Nations Unies au début des années 1960 - " Tout ça , c'est du bla-bla-bla, comme dit le Canard Enchaîné" ! réf : expressions ou mots inventés page 437 au bonheur des mots de Claude Gagnière. En 1978, le mot fit son entrée dans le dictionnaire de l'Académie française et le Larousse ne tarda pas à le consacrer officiellement. Ceci pour éclairer la lanterne de ceux qui persistent à attribuer ce mot à d'autres et qui insinuent que c'est une légende familiale ! Jean-Paul Gordolon, fils de Paul Gordeaux
11 De andre gordeaux -
Comme on connait mal les grands hommes ! Et comme on ignore la variété des facettes de leurs génies… (Le nouveau Grand-Jeu Concours de l’Alamblog)
Par Le Préfet maritime le dimanche 25 mai 2008,
J’avais décide de ne plus m’occuper de votre petit groupuscule blogeurs libraire, mène en bateau par un préfet maritime qui n’ose dire son nom ! Mais un de mes confrères me fait remarquer qu’il était aussi inculte que WOuiqui ! La différence qu’eux sont des jeunes ou vieux chômeurs exploités par un génie américain, qui aimeraient être journaliste ou historiens, leurs problèmes comme le votre c’est l’origine de leurs documentations ! Google est juste l’immense et inintelligente mémoire d’un amnésique (Prévert sa fille minette fut mon premier amour)! Votre mémoire c’est votre bibliothèque et vos classes, la mienne c’est mon éducation, pas la scolaire heureusement mais celle de, mon Père, né d’un autre siècle d’une famille Féodale Niçoise ! Mon grand père Gordolon Francois Felix Gordolon 1852-1901 architecte Niçois a dessine et réalisé la couronne monumentale les balcons en fer forge la véranda pour la Reine Victoria impératrice des indes il éditait Nice Artistique et littéraire journaliste depuis plusieurs génération que je ne vous permettrais pas de continuer a insulter ma famille avec votre air supérieur et méprisant ! Vous le blablateur prétentieux, vous reconnaissiez vous-même, il y a un an que vous connaissiez mal les grands hommes. Je le confirme et exige des excuses publique pour avoir attribue a Louis Ferdinand Céline le borborygme de Paul Gordeaux devenu un mot, une expression mondiale. Juste en regardant des dates comme l’aurait fait un bon flic consciencieux,ou un journaliste stagiaire vous vous seriez aperçu que Céline était un contemporain de mon père, que mon père n’était pas seulement auteur écrivain journaliste a 17ans Revuiste critique dramatique académicien de l’humour pour son livre les contes de Madame préface par Pagnol, président de cette académie avec Marcel Achard, l’auteur le plus édite et peut être le plus lu au monde 2 a 3 millions de copies par jour et surtout qu il était né avant Céline ! 1891 pours 1894 et morts après Céline 1974 pour1961 ! Céline a du présenter a mon père une dénonciation de racine qu’il a du lire comme a son habitude blablabla et lui rendre son papier. C’est le canard enchaîne qui en a fait la promotion et comme un journaliste honnête Pierre Besnard ne s’est pas attribué l’expression de Paul Gordeaux mais a précisé comme dirait mon ami Paul Gordeaux qui n’avais pas les mêmes idée … que Céline ! La source lyonnaise, cette information nouvelle sur le bla bla et le bla bla bla.: Pour les Lyonnais qui pour vous et vos incultures auraient aussi invente le blablabla ça ne m’étonne pas mon père et ses confrères non « colabo » de Paris Soir s’étaient retirés a Lyon pour ne pas êtres sous commandement allemand, pour la perfide Albion ce n’est pas bla bla bla mais blah et le « slang » américain que mon père parlait parfaitement (il parlait 7 langues sans parler du cockney du jar ou de Shakespeare il a été un des premier journaliste niçois a parler l’anglais peut être pour la reine Victoria ce qui lui avait valu d’être envoyé spécial a Londres pour Match et Paris Soir et plus tard dans ses bandes dessinées « le crime ne paie pas » d’écrire Al Capone ,Dilinger, Bony and Clyde… de plus si vous aviez le sens de la prononciation le blah blah n’a rien a voir avec le bla bla bla de Paul Gordeaux Niçois auteur avec Philippe Tiranty d’une grammaire Niçoise je ne serait pas aux antipodes je serait venu en personne défendre l’honneur de mon père ! pour le prix injustement attribué vous devez le donner a André Derval qui disait : D’aucuns prétendent que c’est Céline - je persiste à n’en rien croire. Et vous avez raison ! Bravo, monsieur en une ligne on a tout compris, c’est ce qu’il demandait mon père a ses journalistes payé a la ligne, blablablabla il renvoyait la copie !
J’attends toujours le règlement de votre concours et le nom de l’huissier chez qui il a été déposé, a part les vôtres les excuses de votre groupuscule vulgaire, je ne serais pas ou me les mettre sauf le respect que je doigt a votre Fonction . je ne veux pas faire mon métier m’occuper de savoir si le préfet derrière lequel vous vous cachez n’est pas simplement un blogeurs inculte et voleur de droit d’auteur
Des Mers du sud Cpt devant l’éternel André Gordeaux !
Ps. Mon frère dit que le mot est passé dans le domaine public, c’est inexacte il est passe dans la langue, les droit d’un auteur est inaliénable a sa disparition les héritiers en deviennent propriétaire. Et des droit sont du ! S. Le Préfet maritime, mal réveillé faute de s’être jeté dans l’écumeuse comme il en a l’habitude matutinale, a oublié de signaler la création du site de la Société d’études céliniennes. Oubli désormais réparé .je commence à comprendre nous sommes tombé sur une secte Célinienne qui en plus est condamnée a payer des droit d’auteur pour avoir utilisé sans vergogne des photos et des films sans autorisation et bien sur sans payer les droits !
12 De Le Préfet maritime -
Mais il n’y a sur ce point aucun problème : apportez-nous la preuve imprimée et datée de ce que vous dites, et vous aurez gagné (nous ne manquons pas de lots!). Nous n’avons pas l’habitude de nier les réalités historiques basées sur des preuves idèmement historiques.
Bien cordialement tout de même
Le (faux) préfet (même pas) maritime