Tandis que la fine fleur de la critique littéraire françouaise se prépare à roadmover avec la fine fleur de la descendance de feu la présidence de la République — épiphénomène de la rentrée littéraire ? —, il paraît que Siné rebondit. C'est toujours ça.
1 De P/Z -
Il n'y a qu'un seul petit problème. C'est que c'est vraiment très très mauvais.
2 De Jules Zola -
Mais le road-movie en Israël de Déric Nolleau et Magazine Pingeot va l'être aussi... mauvais.
3 De Péju -
Littéraire, mon cul ! Vous semblez, préfet, ne l’avoir manifestement pas lu. Rien à en retenir si ce n’est, à la rigueur, le papier de Michel Onfray. On n’y chie pas, comme annoncé, tranquillement dans la colle et les bégonias. Bedos, Berroyer, Vaneigem, Ddt, Miss.Tic… apparaissent ombres de leur passé. Et Siné qui voit des situationnistes participant au déchirement de la gauche. Quel con !
4 De le Préfet maritime -
Vous avez lu trop vite ce billet, cher Péju... j'ai bien écrit "Tandis que (...)", Ce qui suppose bien plusieurs personnages sont en cause, dont l'un se la pète littéraire. Pas Siné. Ca se saurait ! Sur le fond, seul le geste de couverture me plaît. Mais les vieux cons restent des vieux cons. Et s'il n'y avait que Siné, tout irait bien.
5 De Orlando Curioso -
Siné mord mou, quand même, depuis qu'il a perdu toutes les dents du bas.