Au seul usage* de nos amis de Cynthia 3000, cet envoi de Fagus sur un exemplaire des Eglogues de Virgile, dans sa traduction "nouvelle et inédite".
Au comte
René Philipon,
Cet essai qui lui appartint
en sa primeur :
Fagus
novembre 1930
(Tirage à 300 exemplaires
hors commerce).
Virgile Les Eglogues. Traduction nouvelle et inédite de Fagus. — (Vincennes), Typographie François Bernouard, s.d. (a. i. 20 mars 1930), n. p.
- Ou presque.
1 De Zeb -
Le début de l’envoi est “Au Comte” René Philippon (1869-1936), riche mécène des arts et lettres. A ne pas confondre avec son homonyme de triste mémoire, président du syndicat des éditeurs durant l’occupation.
2 De Marquis des Glières -
Le comte Philipon soi-même, l’admirable correspondant de Toulet pendant la Grand’Guerre, il envoyait à Guéthary cigarettes et Paul Févaux, Toulet : “Féval est un type dans mon genre. il méprise tous les étrangers”, Philipon :”Lundi dernier, nous avons eu joie à entendre la Légende de Saint-Christophe… Ce fut un succès immense, bien français et qui navra la critique judéo-métèque”, Fagus, Toulet, Philipon, plus à droite vous avez le mur du bunker.
3 De GH -
Grand merci à toi, ami Préfet.
Le Comte a du être aussi ravi de connaître le tirage que je le suis.
4 De Orlando Curioso -
Merci, merci au Marquis des Glières d’avoir bien voulu épurer ce trio infernal en le projetant d’un grand coup de moraloscope sur le mur du bunker.
5 De Mac Ysard -
Je connais le marquis, c’est mon petit frère, il bouffonnait, bien sûr, mais ses blagues sont stupides, il n’a jamais su assimiler l’esprit du soldat Chvéïk, en vérité c’est un fervent du “trio”, il ne jure que par Toulet.