En nos périodes moroses, souvenons-nous que le plaisant Benjamin Franklin a apporté un baume aux citoyens de bonne volonté.
En leur fournissant notamment la preuve qu'il vaut mieux se tenir à distance des citoyens marqués par l'esprit de sérieux - ceux que Claude Ponti caserait naturellement dans la tribu des Oukilélé.
Dans son écrit intitulé "La Bonne et la mauvaise jambe" , Franklin indiquait en outre généreusement le moyen de distinguer ces tristes sires.
En conséquence :
Voyons gai, voyons bon, voyons bien.
Merci Franklin !
Benjamin FRANKLIN Bagatelles et autres textes. Menue traduction et postface du Préfet maritime. - Paris, Mille et une nuits, 13 mai 2009, 128 p., 3, 50 euros.
1 De Ani -
Zut pour celui qui le lit pas!
“Histoire du sifflet”, moi ça me le coupe: un p’tit bijou philosophique sur notre manie de sous-estimer les choses.
Franklin fait parler les mouches (voir la couverture) comme Swift les chevaux.
Pour que vous le confondiez plus avec le Professeur Occultis dans “Blek le roc”, Eric Dussert vous rappelle que l’on sculpta des bustes du Benjamin dans les pierres de la Bastille.
J’aurais aimé voir ça.