Retrouvé ce soir, à l’Hôtel Montalembert, lors de la remise du Prix du Pamphlet (à qui donc déjà ?) le subtil et caustique Patrick Reumaux dont les propos tournent incidemment à l’Alamblog, dont il trouve judicieusement “l’intérêt discutable”. (C’est un redoutable taquin.)
Patrick Reumaux, dont on connaît le goût — il a tout de même traduit les frères Powys, et Merwyn Peake et D. H. Lawrence et… tant d’autres —, est non seulement un romancier et un traducteur de prime importance, mais aussi un critique avisé.
Le Préfet maritime se réjouit une fois encore d’avoir la chance de le fréquenter, lors de ses rares passages dans l’Hexagone, cet immense chaudron aux odeurs méphitiques..
Nous aurons l’occasion de reparler de lui très prochainement.
1 De Alain Paire -
Patrick Reumaux a pour compagnon lointain un magnifique dessinateur, Georges Bru. Bru lui a donné dr nombreux dessins, par exemple la couverture du “Gouverneur sans âme” édité chez Phébus pendant les belles années de Jean-Pierre Sicre.
Goerges Bru est un natif d’Albi, il aime passionnément le jazz et les chiens, les fenêtres de son atelier donnent sur la rade de Toulon. Chez le galeriste de Vence Pierre Chave, Reumaux et Bru ont autrefois publié un album de lithographies qui s’appelle “Quinze images froides, quinze poses dans la mort des autres”. Lors d’une exposition récente à la Villa Tamaris de La Seyne sur Mer, un parfait catalogue a été publié par Robert Bonnacorsi à propos de l’oeuvre de Georges Bru.
Et puis pour revenir à Patrick Reumaux, il y a ses livres publiés chez la libraire de Rouen, Elisabeth Brunet. Par exemple, une traduction de Salvatore Quasimodo qui a pour titre “Et soudain c’est le soir”.
2 De henriette coulouvrat -
j'aimerais bien parler à patrick reumaux de 'l'enfance de l'oiseleur'.......................................