Céline et l'Allemagne

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J'ai vu bien des choses mais l'Allemagne en furie nihiliste vous oubliez pas...

C'est au dos du programme du 19e colloque de la Société d'études céliniennes (Berlin, 6-8 juillet 2012, Céline et l'Allemagne) que se trouve ce fragment de Rigodon.

Occasion de parler de la livraison 7e des Études céliniennes dont le sommaire est dense. On y a distingué plusieurs choses, ici, à l'Alamblog :

D'abord l'article de Marie Hartmann, "Défendre les Français ?" qui souligne le caractère fondamentalement mauvais coucheur du docteur Destouches : La France, oui, mais sans les Français ;

Ensuite l'article d'Isabelle Blondiaux, aller-retour entre littérature et médecine, où est étudié le "talent fabulateur et histrionique" de Destouches-Hyde ;

Et puis cette petite série de lettres de Céline à Alphonse de Châteaubriant, l'affreux barbu collaborateur de La Gerbe où l'on voit l'écrivain en prise avec les... prises de guerre : l'occupant casse son coffre bancaire de Hollande où il avait caché ses ors, il n'est conséquemment pas content de tant lutter pour un maître aussi peu reconnaissant. Ce que c'est que la guerre...



Études céliniennes
(n° 7, printemps 2012)
André Derval (dir.)
154 pages, 25 €

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