Sur un sujet finalement aussi important que le renouveau du bouchage des bouteilles de vin à la cire, la "Querelle du vers libre", la fameuse "Querelle du vers libre" a négligé Cuvelier et nous trouvons ça bien dommage.
D'autant qu'elle en a négligé d'autres, et bien antérieurs...
Ainsi donc, aux noms de Judith Mendès (1872), de Marie Krysinska (1882) puis de Gustave Kahn, et aux noms de tous ceux qui ont suivi, il faut penser à lui et à ses prédécesseurs, et arrêter de remuer cette question idiote qui n'a fasciné que quelques auteurs imbus qui ne fréquentaient pas les bibliothèques anciennes, tout à leur fascinante œuvre qu'ils étaient.
Bref, au lieu de faire le point avec Edouard Dujardin et ses Poètes du vers libre (Mercure de France 1922), jetons un oeil aux Épîtres en vers libres, ou Étrennes d'un goutteux à M. Pradier, inventeur du remède contre la goutte (Paris, impr. de Hocquet, 1812) de J.-G.-A. Cuvelier de Trie (1766-1824).
Déjà à son époque, il y a belle heurette que les auteurs dramatiques s'adonnaient à ce sport. Témoins les vers livres rimez de Corneille, par exemple.
N'y revenons plus.