Bien que je vive depuis trois ans sur les côtes méditerranéennes je connais trop peu le provençal surtout littéraire — pour en juger correctement l’œuvre textuelle de F. Mistral. Ceci n'est donc pas une réponse à votre enquête, mais un simple témoignage de ma haute admiration poétique envers l'auteur de "Mireille" et de "Calendal" (je n'ai pas lu ses autres œuvres), où je retrouve, sous leur version française, mon amour magnifié et multiplié de la divine Provence, un de mes pays d'élection.
Théo Varlet
Les Marches de Provence, 1re année, n° 4, mai 1912, p. 145.