Quoique

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Fruit d'un collectif dispersé "entre Lille, les Cévennes et d'autres bourgades situées au sud de la Loire" (dixit Ian Geay), la revue Quoique se présente sous la forme d'un journal de trente-deux pages 410/290 mm de bon papier imprimé.

Si la librairie marseillaise Le Lièvre de mars n'avait pas déjà fait le travail, voici ce que nous aurions écrit :

Editée par Carobella, Quoique est une bien belle revue de grand format, d’images et de textes, où il est question de mouches, de honte, de femme-renard, de morgue, d’anatomie, de morsure, de beauté et d’abjection, dans un esprit foutrement et subtilement fin-de-siècle…

Et nous ajouterons des conserves, des conserveries, de l'esprit révolutionnaire et toutes choses nécessaires à un week-end qui débute en terrasse...

Largement illustrée de photographies, de dessins, de peintures, de gravures, Quoique est une revue où s'essayent ensemble des pattes, des plumes et des crayons (des poils aussi puisque Sarah d'Haeyer donne sa version en images de La Femme changée en renard de David Garnett). Elles sont, au fond, les plus nécessaires.

Au sommaire :
1gr1 – st
david perrache – révolutions et conserveries. la dialectique en boîte.
maro – la honte
karine – st
joris pitaud – on verra plus tard
ian geay – toujours toujours toujours
sarah d'haeyer – la femme changée en renard
balthasar grisaille – de mordre
arthurine vincent – pavillon 8B


La gazette possède son propore site (http://quoique.net/) et son prix est de 5 euros.

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