Gadda conclut

gadd.jpg



L'incroyable cri bloqua net la fureur du monomane. Il ne comprit point, sur le coup, ce que son âme était bien près d'entendre. Cette ride sombre et verticale entre les sourcils de la colère, dans le blanc visage de la fille, le paralysa, l'induisit à la réflexion : presque au repentir.





Carlo Emilio Gadda L'Affreux Pastis de la rue des Merles. Traduction de Louis Bonalumi. — Paris, Le Seuil, 1963.



Ajouter un commentaire

Le code HTML est affiché comme du texte et les adresses web sont automatiquement transformées.

Haut de page