Un portrait peu courant de René-Louis Doyon traînait dans Floréal, en accompagnement d'un article relatant les obsèques de Laurent Tailhade, où le Mandarin fit son discours - il en parle du reste dans ses mémoires, si la mienne n'a pas fondu.
Il s'agit d'une caricature, certes, et l'on ne peut s'empêcher de ne pas la trouver très ressemblante. Pour autant, on note que Doyon prend place aux côtés d'André Salmon, Ernest Raynaud, Alfred Mortier et Louis de Gonzague-Frick.