Achab deuxième

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Après avoir biné et béché les alentours de Kafka, de Montesquieu ou de Lichtenberg, Pierre Senges a pris appui sur l’œuvre d'Hermann Melville pour nous proposer un roman de l'automne dépaysant, ludique et savant, comme à son habitude.
En 624 pages.
Le livre paraît aujourd'hui.
Ce sera assurément l'une des belles pièces (du pêcheur) de la rentrée - ce moment dont on espère chaque année, et désormais deux fois par an, la sortie...
A l'instar de Céline Minard, Pierre Senges a le don d'attraper son lecteur par la peau du cou et de le conduire (avec délicatesse) où il souhaite l'amener, sans barguigner mais sans se laisser attendrir.
Pour l'heure, Achab a à faire avec l'entertainment anglo-saxon et son fameux cachalot n'a pas dit son dernier mot.
Probable qu'on y reviendra ici même.


Pierre Senges Achab (séquelles). - Paris, Verticales, 624 pages, 24 €



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