Tandis que reparaît la traduction par Emmanuel Bove d'Un Conte de deux villes, le grand roman de Charles Dickens, à l'Arbre vengeur, cette image de l'écrivain français en 1928.
Les Nouvelles littéraires, 17 novembre 1928.
Tandis que reparaît la traduction par Emmanuel Bove d'Un Conte de deux villes, le grand roman de Charles Dickens, à l'Arbre vengeur, cette image de l'écrivain français en 1928.
Les Nouvelles littéraires, 17 novembre 1928.
1 De Nahmias -
Bonsoir et merci pour votre travail de fourmi et de découvreur de perles.
Pour la traduction et l'adaptation de "Un Conte de deux villes" de Charles Dickens. Il y a un gros problème que je n'arrive pas à résoudre. Dans la revue "Regards" cette traduction parait en feuilleton du 9 juillet au 22 octobre 1936 avec cette mention "Adaptation et traduction de Louise Bove"! Puis en 1991 cette traduction parait en ouvrage aux éditions Critérion sous la signature d'Emmanuel et Louise Bove et à présent L'Arbre Vengeur dans son excellent travail nous offre "Un Conte de deux villes" uniquement sous la signature du traducteur Emmanuel Bove. Je n'ignore pas que Louise Bove était une femme insupportable mais pourquoi l'effacer ainsi de l'histoire littéraire. Bien cordialement à vous
2 De Le Préfet maritime -
Ah, mais oui, en effet. Une question à poser à l'éditeur...
3 De Le Préfet maritime -
Après vérification : c'est dû à une boulette qui sera corrigée dès la réimpression attendue.