Christophe Macquet est un homme surprenant. Comme par hasard, il a surgi de l'ombre portée de Louis Watt-Owen, cet alchimiste. Depuis quelque temps déjà, on suit attentivement ce qu'il avance en guise de pions et l'on est attentif à ne pas manquer de nous laisser surprendre — on aurait beau faire les blasés, on n'y parviendrait pas. Récemment encore, il nous lançait sa traduction de textes cinquantenaires ou presque du khmer Soth Polin, une sorte de diabolus ex-machina aux idées tortes et longues que les ongles d'un ermite.
Et voici que ce sont ses vingt-et-un livres muets qui sont mis en vente pour que les amateurs s'en emparent.