Mitch s’était accroupi au bord de l’eau ; il promenait sa torche le long de certaines lianes voisines de la rive. « Je me demande parfois, répondit-il d’une voix étrangement lointaine, insensible autant que le lac, si des lieux comme ceux-là n’existent pas que pour eux-mêmes, ou comme une métaphore, une sorte de miroir tendu vers je ne sais quelles obscures régions de l’esprit.
William Kuhns Le Clan, traduit de l’anglais par André Simon. Gallimard, 1975.