Je suis née sous une petite table. Je m’étais cachée là parce que la porte d’entrée avait claqué, c’était que l’oncle rentrait. L’oncle avait dit : « Renvoie-la à sa mère, ne vois-tu pas qu’elle meurt chez nous ? »
Dolores Prato ''Bas la place y’a personne’'. Traduit et postfacé par Laurent Lombard et Jean-Paul Manganaro. — Verdier, « Terra d’altri », 896 pages, 35 €