Et l'ombre des forêts

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Je m'enfuis n'espérant plus rien de ce peuple ne demeurant nulle part le duc ne demeurait nulle part.

et il pend une voûte d'airain du ciel par-dessus nous la malédiction paralyse les membres

homme au très sombre aspect toujours fermé

et l'ombre des forêts répandue alentour




Jean-Pierre Martinet L'Ombre des forêts. - Paris, La Table ronde, 1987. - Réédition en préparation aux éditions de l'Atteinte.



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