Alors, il traînait pendant des heures dans les rues de Rowena, faisant de brèves escales dans les cafés, puis il rentrait se coucher, même s'il faisait encore jour. Bref, la grand vie.
Jean-Pierre Martinet L'Ombre des forêts. - Paris, La Table ronde, 1987. - Réédition en préparation aux éditions de l'Atteinte.