Il y a une crise du papier. Une crise grave. Cela signifie que des centaines de premiers romans seront refusés : un premier roman, ce n’est pas rentable. Pour personne. Pourquoi les éditeurs prendraient-ils des risques, puisque vous, les lecteurs, vous refusez de les partager avec eux ?
Les Nouvelles littéraires, 19 août 1974, "La chronique de Didier Decoin", p. 4.
Illustration du billet : © Draco Semlich, 2023.