Le brouillard, c’est joli. J’aime le brouillard... D’abord, au ras des quais, il cache l’eau noire et puante sus son tulle cendré, puis le voile se gonfle, s’épaissit, et c’est superbe ; il n’y a plus rien, plus de maisons, qu’un pan près des réverbères, dans la lumière jaune et pisseuse. Là, c’est […]