Mot-clé - Herman Melville

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Nouvel avatar de papier pour Bartleby, cette fois servi avec une présentation de Jean-Pierre Naugrette qui en connaît un rayon question littérature anglo-saxonne. On y repart de Hawthorne et de Dickens, c’est dire que le tour du propriétaire est fait correctement. Et puis l’on finir par deviner que  […]

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Écrits de jeunesse peu fréquentés de Melville s'essayant au gothique et au burlesque (ainsi qu'à l'éloge de la femme, et notamment d'une beauté lilliputienne !), récit d'exil de Jean de La Fontaine en découverte du Limousin (son protecteur Fouquet vient d'être disgracié...), texte peut-être  […]

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Hermann Melville et son Vieux Zack (avec des portraits par Marc Bernard)

C’est décidément la semaine Herman Melville à l’Alamblog !Tandis que nous nous régalions de la traduction fragmentaire de Moby Dick par Théo Varlet, que Gérard Allibert nous informait des éditions de Lucien Jacques et Jean Giono, la maison Finitude nous faisait tenir deux livres dont le premier  […]

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Une nuit à l'Hôtel de la Baleine (Varlet traducteur de Melville)


C’est une nouvelle colossale ! Théo VARLET a traduit Moby Dick !

Pour ceux qui savent un peu qui fut Varlet, romancier, poète, critique et traducteur, l’information est aussi brutale que réjouissante. Car Théo Varlet (1878-1938), homme de lettres jusqu’au bout des ongles, fut un être à part.
Grand chemineau, c’est-à-dire voyageur, adepte de la vie à l’air libre et de l’harmonie de l’individu avec le cosmos — et, conséquemment, l’un des tous premiers sectateurs du naturisme — il a laissé des écrits de première nécessité qu’Apollinaire et de nombreux autres surent voir.
La découverte, grâce à Bruno Leclercq, de certaine livraison du Crapouillot (septembre 1931) vient de nous en apprendre une belle : outre ses traductions superbes de Stevenson, de Pearl Buck ou de J. K. Jerome, Théo Varlet s’était donc attelé à la transposition du chef-d’oeuvre de… Melville.
Oui, mes soeurs, mes frères, de Moby Dick !


Passé inaperçu des lecteurs présents de Théo Varlet, un chapitre de Moby Dick résidait là, entre les pages 21 et 35, en attendant qu’on l’y trouve. C’est à peine croyable… Apprendre cela en 2007…

Apparemment prépublié dans le Crapouillot, le roman aurait dû paraître intégralement dans une édition de luxe à la marque des Editions du Bélier.
Rien à faire : nulle trace, nulle part. Il faut croire que la version de Varlet n’a jamais vu le jour en volume. A moins que… (1)

Afin de rendre grâce à Melville et hommage à Théo Varlet nous donnerons ici ce chaprite, en espérant retrouver un jour le manuscrit de la traduction intégrale de Varlet, si elle existe encore…


Note du 5 février 2008 : Une édition de ce fragment sauvé des eaux, enrichi de différents propos, va paraître au cours de l’année 2008 aux éditions Versant Libre. Vous serez bien évidemment prévenus.

(1) La première traduction française connue est la suivante : Le Cachalot blanc, roman américain, traduit par Marguerite Gay. — Paris, Gedalge, 1928, in-16, 256 p. Coll. “Aurore” (n° 13). Les seules précisions physiques laissent entendre que cette traduction n’est pas intégrale.

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Les mots sont des farceurs

Dans le Figaro littéraire d’hier (2 novembre 2006), la titraille s’entrechoque. Cela donne  : Régine Deforges : “Pourquoi je démissionne du Femina”, où la dame nous dit sans rougir qu’elle ne s’est aperçue de rien — et que non, il n’y a pas de bizarreries à sa connaissance lors des délibérations du  […]

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