Quelques mauvais garçons

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Le Salon du papier imprimé ayant ouvert ses portes hier, après la beuverie confraternelle de jeudi soir, une piste en loucedé pour trouver quelques livres dans le tas de volumes.
Pour faire comme dans les "mags", pas con, on a choisi une "tendance".
On avait le choix... Entre conneries en vrac et machins difformes rédigé par des profs neurasthéniques (ou prétentieux), la surface du salon ne suffit pas à tout contenir. Alors on a opté pour les mauvais garçons et cinq très bons livres au goût un peu amer.
Vous verrez, ça vous changera des rebelles français à l'eau de jus de carotte.
Vous en ferez ce que vous voulez, mais sur notre île, la population a beaucoup aimé.
Alors, comme ils disent à la télé...

On vous demande de leur faire une ovation.




Anian Sundaram Kinshasa jusqu'au cou. Traduit de l'Indian english par Charles Bonnet. — Paris, Marchialy, 2017, 352 pages, 21 €

Earl Lovelace C'est juste un film. Traduit de l'anglais (Trinité et Tobago) par Alexis Berreaut et Thomas Chaumont. — Montreuil, Le Temps des Cerises, 400 pages, 20 €

Karim Madani Jewish Gangsta. — Paris, Marchialy, 192 pages, 18 €

Mudrooroo Chat sauvage en chute libre, suivi de Je suis moi. Et personne d'autre ! Traduit de l'australien english par Christian Séruzier. — Paris, Asphalte, 197 pages (avec playlist), 18 €

Et pour mémoire
Alberto Saucedo Ramos L'or et l'obscurité. La vie glorieuse et tragique de Kid Pambelé. — Traduit de l'espagnol de Colombie par Cyril Gay. — Paris, Marchialy, 187 pages, 19 €

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