L’automne approche et avec lui cet irrestible besoin de faire des stocks de noisettes et de livres.
PLusieurs bonnes choses sont à paraître, annoncées par leurs producteurs mêmes, et il paraît utile de le faire savoir.
D’abord les éditions Plein Chanti lance une souscription pour trois nouveaux livres (on se régale de cette productivité retrouvée dans la région de Bassac) :
Camille Noé Marcoux Victor Rodde, l’Enragé du Bons Sens (1792-835). — Bassac, Plein Chant, « Gens Singuliers », 288 pages, 18 €
Georges David Cure-Bissac. La symphonie en sabots. Postface de Jean-Kely Paulhan. — Idem, « Voix d’en bas », 176 pages, 13 €
Paule Adamy La Singulière curiosité des livres. — Idem, 15 €
Les frais de port sont ramenés à 3 € forfaitaire pour l’ensemble et l’on aura probablement l’occasion de parler plus avant de ces opus.
Ensuite des passages en poche utiles : les récits nippons et mafieux de Jake Adelstein (Points) que nous avions pu lire grâce aux éditions Marchialy, sous le titre d’Un homme pleine de misère les barbarités de Jacques Abeille en Folio SF, Le Singe, l’idiot et autres gens de William Chambers Morrow en Libretto, L’Hôtel du Grand Cerf de Franz Bartelt en Points, tout comme le Kaouther Adimi consacré à la librairie d’Edmond Charlot à Alger, Nos Richesses (Points également)
Enfin, on évoquera prochainement de la revue ''Possession immédiate’’ et beaucoup d’autres choses.
Pour l’heure, nous en sommes au compte-à rebours :
H-24 pour « Rétrofutur, une contre-histoire des innovations énergétiques » (Buchet-Chastel) et pour « M. Tristecon, chef d’entreprise » de François Caradec (L’Arbre vengeur), le nouvel opus de la collection « L’Alambic » !