Aubergines tristes

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Tout en me disant que je n'ai rien à faire, sous la vieille mosutiriquer, nos oreillers alignés, à toutes les trois, moi avec les femmes de Sakhaline ou de Kanazawa, je nous trouve tristes comme des aubergines qui macèrent sur un étal.




Fumiko Hayashi Vagabonde, traduit du japonais par René de Ceccatty. - Paris, Vendémiaire, coll. "Compagnons de voyage", 180 pages, 20 €

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