Les mots sales




En contrepoint de l’entretien que nous a donné Bienvenu Merino il y a quelques jours — il y a exactement une semaine, le 17 dernier —, cette réminiscence du grand André Hardellet (Lourdes, lentes) :


“Je vais employer des mots sales. Il le faut. Il faut que je vous tire de votre sommeil et de votre hypocrisie, que je vous explique comment ça se passe. Gueulez au charron, ameutez les pouvoirs publics tant que vous voudrez, mais accordez-moi ceci ; je reste encore bien en deçà de vos divertissements cachés, de vos ballets oniriques.”




Ajouter un commentaire

Le code HTML est affiché comme du texte et les adresses web sont automatiquement transformées.

Haut de page