Pour rien, ou à peu près, ce portrait de l'Autrichien Peter Altenberg (1859-1919).
Pour la seule raison — bien suffisante — que nous n'avions jamais vu sa binette. Elle est issue d'une monographie américaine sur l'architecte autrichien Adolf Loos.
Nous l'avons lu, en revanche, et nous sommes tombés sous le charme de ce moraliste de cette Vienne que nous ne verrons plus.
Pour le lire à votre tour, rien de plus simple : ses écrits sont en partie traduits :
Esquisses viennoises, traduit de l'allemand par Miguel Couffon. — Aix-en-Provence, Pandora, 1982, 267 p.
Nouvelles esquisses viennoises, traduit de l'allemand par Miguel Couffon. — Le Paradou, Actes Sud, 1984, 188 p.
Esquisses et nouvelles esquisses viennoises, traduit de l'allemand par Miguel Couffon. — Arles, Actes Sud, 1989, 447 p.
Ma vie en éclats. Texte français et présentation d'Alfred Eibel. — Cognac, le Temps qu'il fait, 1989, 91 p.