Las, nul naute n’est parvenu à lever le voile du mystère de ce moustachu du 106e de chasseurs. Les commentaires en témoignent, ce ne fut pas faute d’imagination…
Il se nommait Olivier Diraison-Seylor et l’on raconte en deux mots son existence dans le numéro du Matricule des Anges à paraître. Les alamblogonautes auront droit, eux aussi, à quelques informations à son sujet dans les jours qui viennent
Bien malgré nous, nous n’avons donc pas trouvé à qui offrir le prochain volume de la collection “L’Alambic”, ”Le Manuscrit Hopkins” de Robert C. Sherriff.
Un prochain jeu de l’Alamblog devra suppléer.
1 De Le Tenancier -
Caramba, encore raté !
2 De Le plouf -
Livre difficile dans sa lecture!
Officier dans la Marine Nationale Française, en poste à Toulon lorsqu'il publia "Les Maritimes". Livre satirique sur les moeurs qui régnaient dans le milieu maritime de l'époque. Le Préfet Maritime en place, les hautes autorités sont placardées et noms ou surnoms à peine transformés. L'épopée coloniale Française en Cochinchine, elle aussi plus ou moins raillée. Pour ces entorses journalistiques, il fut dégradé en place publique de Toulon. Il s'engagea par la suite comme deuxième classe dans l'Armée de Terre et fut tué lors de la Grande Guerre. Une suite devait paraître "Les Nuits Vides" (Femmes Maritimes) axée sur les débordements de certaines épouses d'Officiers de Marine. C'est peut-être, cette promesse de parution, qui fut la goutte de trop en Méditerranée. Je tiens cette histoire d'un vieux bouquiniste Toulonnais qui avait connu des membres de la famille de cet écrivain malheureux! Ce livre est une véritable archéologie Maritime. Maisons closes, fumeries d'opium, haines, tout y est pour faire un film!