Très longtemps avant Bernard Werber, ce Christian Jacq de l'insecte, il y eut Raymond de Rienzi (1890-1971), avocat romancier journaliste bien oublié — l'Alamblog donnera bientôt quelques bonnes choses à son sujet — et ses Formiciens, roman de l'ère secondaire (Tallandier, 1932).
Et vingt-cinq ans plus tôt, c'est André Laurie qui défrayait la chronique de l'imaginaire avec son fameux Spiridon le muet (Le Globe-Trotter, 1906-1907), rare opus d'André Laurie dont la réédition à l'enseigne Des Barbares... a rendu un fier service à la communauté.
Et puis il y eut Auguste Forel (1848-1931), entomologiste et psychiatre qui s'attacha à la fourmi de Suisse, et d'autres sans doute encore, dont Han Ryner et son Homme-Fourmi (1901).
A suivre...
Demain, le Caméléon.