Borborygmes #21

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Avec son format de carte postale, Borborygmes, de son propre aveu le "semestriel le plus petit du monde", trouve le moyen de donner de bonnes choses. Textes d’inconnu(e)s ou de collaborateurs plus réguliers, il ne manque jamais de suprises dans ses pages.

On devine même parfois quelle part peut avoir prise dans leur publication le désir de mettre en scène ces écrits : le comité de rédaction est en effet aussi composé de comédiens qui se mettent en bouche et jouent les écrits dès qu'ils ont l'occasion de se lancer dans des Borbotrucs...

Avec le soutien de Jean-Claude Pirotte, Borborygmes semble bien devoir jouer son rôle de revue discrète mais agissante, donc nécessaire. Evidemment, à trop la contourner on risque de rater quelque chose, des auteurs émergents comme Thomas Vinau, par exemple.

La vingt-et-unième livraison propose des textes variés, ainsi que les paradoxales photographies de Muriel Chama. Des images d’un lieu désaffecté pour illustrer un lieu très habité.


Au sommaire :
Stéphane Dauvillé. Nulle part ailleurs que sur terre, chapitre 2
Robin Czarniak. 2 poèmes
Myrto Gondicas. Courbes chez le ramier
Emmanuel Steiner. Déchet humain
Thomas Vinau. L’enfant des bois
Junie Terrier. Passage
Caroline Cranskens. Il manque une lettre
Marlène Tissot. 4 poèmes
Yoni Afrigan. Terre parlée
Patrick Aveline. Rectangle
illustrations : Muriel Chamak. Garage Roger, photographies

Borborygmes (n° 21)
Association Quelques Mots
22 boulevard Kellerman
75013 Paris
60 pages, 5 € abonnement 18 €

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