Gustave Doré, dans son éloge du voyage, nous offre un rare cliché d'un vol de bas-bleus pris sur le vif.
Le cliché n'est pas très net, le dessinateur l'a saisi en mode ambulatoire.
Gustave Doré Des-agréments d'un Voyage d'agrément (1851). — éditions 2024, album à l'italienne, cartonnage éditeur, dos toile, 19 €
1 De Bruno Duval -
Je crois reconnaître ma grand'tante, Jeanne Cartault d'Olive (sic),
dont le soupirant toulousain Bernard Grasset avait jadis publié les premiers vers sous le titre Gant de crin, dont Reverdy avait dignement autorisé l'emprunt, sans prévoir qu'elle allait ensuite tomber le masque sous le titre de La Sentimentale exaspérée.
B.
PS: Doré était le premier nom du vicomte François de Nion, auteur des Façades, puis des Décombres, dont Rebatet dérobera le titre (l n'était pas à ça près). De De Nion, la revue Empreintes vient de publier une nouvelle dont le recueil était épuisé, lui aussi.