Les mystères de la ruelle

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« C’est vn endroit privelégié, dont l’air est si vif et si pur, le Ciel si serain et si beau, qu’on n’y voit que des fleurs mesme dans la plus rigoureuse saison. ... Le tumulte des soins, le desordre des passions et l’inquietude de la fortune n’y abordent iamais.
« Il y a vn Genie à la porte de ces lieux sacrez à l’entretien, qui fouille et qui desarme, pour ainsi dire, les esprits chagrins, et les ames inquietes, et ny laisse entrer que les belles humeurs et les esprits libres. »



Michel de Pure (1620-1680) La Pretieuse ou les mystères de la ruelle (1656-1658),

Marguerite de Valois avait écrit antérieurement La ruelle mal assortie ou Entretiens amoureux d'une dame éloquente avec un cavalier gascon plus beau de corps que d'esprit et qui a autant d'ignorance comme elle a de sçavoir.



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