Les tuileries fermèrent. Avec l'automne qui s'annonçait, les premières pluies couvrirent de frémissements la boue noire des esteiros, et le vent âpre perça les haillons des gamins ; les eaux frissonnaient, et les corps.
Soeiro Pereira Gomes Esteiros, roman traduit du portugais par Violante da Canto. Préface d'André Wurmser. - Les Editeurs français réunis, 1954.