Pindare en hiéroglyphes

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La plume est à vous.

M. Francis Cot-Bernin, docteur ès-lettres, rue Philidor : "Que ne citâtes-vous l'illustre Pindare en français au lieu de vouloir épater vos lecteurs à bon compte ?" - Mme B. Suridan, rue Haxo : "Pourquoi ne publiez-vous pas une édition du Citadin en hiéroglyphes, tant que vous y êtes ?".
Réponse : Docteur, nous attendons votre traduction. Madame, Pindare n'était pas égyptien. En substance, il disait que la Fortune laisse dans l'ombre ceuxw qui luttent et qui souvent les manoeuvres d'un minable ont eu raison d'un champion authentique.
(...)
M. J.-P. La Barbura : "Je trouve vos conflits internes lassants et je me désabonne."
Réponse : Être abonné au CITADIN est un privilège dont vous ne paraissez pas bien conscient. Vous pouvez courir en tout acas pour qu'on vous rende vos timbres."



Le Citadin, n° 11 : "La mort du Caporal", 11 septembre 1998, "Chronique locale", p. 15.

Jacques Réda Le Citadin. - Fata Morgana, 588 pages, 25 €

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