Illustré par ces superbes cheminées de Sigfrido Oliva (peintre né en 1942), voici quelques liens vers des livres qui sont à l'origine de l'étude de la littérature des travailleurs.
Celle qu'Edmond Thomas a si bien travaillé sous sa marque Plein Chant depuis près d'un demi-siècle (1).
Voici de quoi lire les Poésies sociales des ouvriers réunies par le saint-simonien Olinde Rodrigues (1795-1851) (Paris, Paulin, 1841), ainsi que La Muse des ateliers d'Eugène Baillet (1831-1906) (Paris, Imp. de Pilloy, 1856), et son incontournable
De quelques ouvriers-poètes. Biographies et souvenirs (Paris, Labbé, 1898)
que toute personne de goût possède dans l'édition suivante : Bassac, Plein, 1995.
(1) A noter que son essai anthologique Voix d'en bas est en vente à prix minime sur le catalogue "Soldes" de la librairie Marc Mafant (06 10 17 78 84) sous le numéro 438 et la description suivante :
THOMAS Edmond. VOIX D’EN BAS. « La poésie ouvrière du XIXe siècle ». François Maspéro. 1979. Grand in-8° br. 463 pp. E.O. BE. 10 €
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