On se souvient des derniers mots du colonel Kurtz dans Apocalypse Now. ILs ne provenaient pas directement du Coeur des ténèbres de Conrad mais bien plutôt des Merry Men de Stevenson, comme le signale Jean-Pierre Ohl. L'horreur, l'horreur... Un classique à relire dans une traduction reciselée, où […]