
Je baise tes pieds nus, charmante Fantaisie, Tes pieds roses & nus qui n’ont jamais marché ; J’aime l’air frémissant par tes ailes touché, Sœur cadette de la divine poésie. (Jean Aicard, Les Apaisements) Si l'on faisait dans la littérature-spectacle, on commencerait ce billet en rappelant […]