Dans sa postface Philippe Rahmy écrivait : "Il y a longtemps que je n'a ais pas lu un texte aussi dense, libre et compassionnel (...). Où tu vas J'suis poivrée sur la plage j'suis en reste itou de toiture vibrante - c'est ben ça - un fond intérieur qui ristourne en soute charbon - port de port […]