Le zoziau

Je vous l'avais promis : voici les piafs.

Le premier tout au moins.
Les autres nichaient profond et mon irruption (sur un tabouret soutenu par une chaise, ce qui n'est pas raisonnable) fut mal appréciée. Le géniteur me surveillait du coin de l'oeil, à distance, en émettant un caquet de désapprobation, tandis que Toto (je l'ai nommé ainsi, c'est le diminutif de Trompette, ce qui lui va bien aussi) lançait, farouche, le cri d'alarme. Aux armes !
Vous en profiterez pour noter qu'il a une belle tête de haut-parleur. Ses frangins et frangines se tenaient cois, pas fous.
C'était, chères lectrices, chers lecteurs, l'actualité bouillante bouillante du jour, au 29, rue du Borrégo, Paris XXe.
Et Zidane n'y est pour rien.
A vous les studios.

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